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MUTISME,

La réaction de mutisme est une des plus anciennes réactions de défense de l'organisme vivant (...). Un simple silence peut couvrir des effondrements profonds dont la gravité se révélera un jour. Qu'il suffise d'évoquer ici les ravages sournois de la schizoïdie.

 

 

 

État pathologique d'un sujet qui, ne présentant aucune lésion des organes de la phonation ni des centres nerveux du langage, ne fait pas usage de la parole. Mutisme des schizophrènes, des simulateurs; mutisme hystérique; mutisme passager des timides.

 

 

 

Attitude d'une personne qui est habituellement silencieuse ou qui, dans des circonstances particulières, s'abstient volontairement de parler

 

 

 

Mutisme dédaigneux, hostile, obstiné; opposer un mutisme (+ adj.) à qqn; s'enfermer, se retrancher dans son mutisme.

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Ma créativité.

 

 

 

            Ma créativité semble anesthésiée, comme si quelque chose avait piraté mon cerveaux, j’ai les yeux gonflé par les larmes de pensées dépravées, le nez qui ne cesse de renifler a la manière d’un juncky en manque de poussière divine créatrice de paradis artificiels et spontanés, ma bouche se ferme et ne s’ouvre plus que pour respirer l’aire chaud et pollué au quel je me suis habituer.

 

 

 

            Je suis seul sans vraiment l’être, une foule de personne est autour de moi près a m’aider si le désir ou le besoin pointai a mes pensé, et pourtant je suis orphelin d’amour, la vie me contourne elle semble avoir peur de me traverser comme elle le fait avec les autres, je suis ce que j’ai toujours eu peur de devenir……… je vous explique, enfin je vais essayer : Voila je m’appelle Fabrice je suis quelqu’un de bien dans l’ensemble monstrueux de cœur et d’âmes comme tous le monde, mais ivre de la penser de ne plus l’être. J’ai grandi entouré de femmes de jeunes filles de jeune femme de fillettes, bref j’ai grandi dans la féminité, et toutes mon enfance j’ai vue l’horreur du monde dans les larmes de ces femmes, elle pleuraient sans cesse pour des hommes, je n’ai jamais aimer les voir ainsi alors je m’étais promis de ne pas devenir, en aucun cas celui qui les ferais pleurer un jour, mais celui qui prendrais ça tristesse pour ne pas la laisser se consumer en une larme de femme………………. ………………… Et malheureusement je suis devenu cet être malveillant l’horreur du monde la matière fécal qui ne serre pas a grands chose sur terre, j’ai fais pleurer a deux reprise. Pire que le sang qui coule du blessure, la vision d’une femme qui pleure me rend fou l’envi de tous  casser pour ne pas le voir me prend et reste en moi pour longtemps. J’ai fais pleurer deux femmes que j’aimais et que je continue à aimer, la première fut Fabiola j’en ai déjà parler sur ce site, mais étrangement je me sans moins gêner de l’avoir fais pleurer elle que la seconde. La seconde femme que j’ai fais pleurer, est une perle dans son écrin, que je ne dois plus aimer. Je me souviens comment cela c’est dérouler dans les moindres détails… je m’en veux mais ne souffre pas de la tristesse que mon geste me procure je reste moi, le monstre qui fait pleurer l’amour, j’ai le sentiment de ne pouvoir aimer normalement c’est toujours la démesure qui me ronge, j’aime trop ou pas assez a chaque seconde cela change…….. J’ai l’impression que ce que je suis en train d’écrire ne sera compréhensible pour personne. La femme qui me donne envie de parler de tous cela est vous vous en douté la seconde merveilleuse créature qui par ma faute a pleurer, vous savez je pense que je n’ai plus le droit de l’aimer a cause de cela, je ne sais pas c’est étrange les deux cotés de ma personne s’opposent, l’un crie un d’amour débordant de souffrance et de joie, l’autre crie est une reprise de soi  une interdiction d’aimer a cause du mal que je procure a la créature désirer ……… je suis perdu entre les deux je ne sais plus vraiment ou j’en suis quelques idées noir me sont venu, quelque mauvaise pensé également. Mais j’aime et cela restera mon seul moyen d’accroche au monde humain, moi le monstre je meurt de la pensé de la belle mais pas de sa main…………………………………

 

 

 

            Je me demande si l’amour peut s’apprendre ou si cela est une capacité naturelle pour l’Homme…… Si l’amour est une science qui doit être apprise par les enfants et enseigner par les parents j’avoue être mal partie et ne pas savoir ce que sais réellement dans ce cas…. Je me demande comment l’idée de l’amour se crée  dans le cerveau humain, quelles règles préétablies nous disent que faire ou ne pas faire, je me demande comment les autres aiment, si leurs amour ressemble au mien : fou déstructurer sauvage monstrueux, tel un poison bienfaisant, un suicide a longue durée………………. Si vous le savez éclairez moi s’il vous plait dite moi si on vous a appris à aimer ou si vous l’avez fait naturellement inconsciemment……………..

 

 

 

            Toi mon amour si en la femme dont je parle tu t’est reconnu ne m’en veut pas de me dévoilé sur le net comme je le fait, je suis désoler de se que je t’ai fait grâce a mon crime contre notre amour j’ai appris que je ne devais plus prendre de décision seul, même en ayant le sentiment de protéger les autres, car je me trompe et ne fais rien de bien, je m’isole seulement, je laisse mon esprit torturer par le bonheur…………….

Mon préambule.

 

            Ma vie est un préambule, et j’en suis béni……… Le prix a payer n’est pas si cher : tristesse continue, mélancolie dévorante, apathie meurtri, sans compter la solitude constructrice de désespoirs, mais cela n’est rien, pour accéder a l’immortalité psychique ou plutôt a la non mort psychique, oui car immortalité insinuerait que je soi déjà vivant…..

 

            Vous allez pensez que je suis fou et vous aurez raison. Oui quel genre d’homme ne peut ce contenter que d’un prélude pour plan existentiel ? …….. Eh bien moi je peux !

 

            Parce que ma vie est ce qu’elle est je ne souffre pas des même maux que vous, oui le prélude n’est pas la vie mais juste le début ; le prélude annonce le sous texte qui lui annonce l’histoire de la vie puis la mort, mais moi mais moi je n’y suis pas et y serai sans doutes jamais car mon monde, mon univers, ma vie, mon existence se contient et gravite a la foi autour du préambule. Comme ci mon cerveau volai ou planai aux travers de lourds nuages épais des tourments vitaux qui son les votre, sans en être le moins affecter je suis libre de voler dans le préambule (j’ai utiliser le mot cerveau et non le terme âme car je pense qu’une différence se fait entre les deux l’âme indique une croyance a un dieu ou a une chose supérieur et ce que cela implique, le mot cerveau reste plus médical dans sa globalité.)

            Et mon existence s’écrit de ligne en ligne toujours semblable, jumelles, pour fuir le début du premier sous paragraphe de l’histoire.

            Le prix de ma non vie quotidienne est bien léger et pourtant je ne le supporte plus !!!!!!!

            Je ne vie pas j’existe seulement et parce que je ne vie oint je ne mourais points, je ne m’écrirais plus seulement les lignes jumelles de mes jours, elles ne se succéderons plus jumelles mais se suivront en décolorées en ternie et passées, comme écrite d’une encre d’écolier de notre jeunesse vieilli sur le papier jauni.

            Ce moment n’est pas encor à la porte de mon cœur, et j’ai le pouvoir de le rendre non venant à tout jamais, oui se pouvoir c’est ma capacité a aimer si faible qu’elle soit elle est d’une grande valeur lorsque je dois prendre une décision, Mais cette capacité ce donc que chacun de nous possède est aussi ma faiblesse car c’est aimer qui me ferait quitté mon préambule et commencer a vivre………….. C’est aimer qui me plonge dans l’histoire en brûlant les lignes des chapitres de ma vie, lettre après lettre, ligne après ligne, page après page et ainsi de suite à la vitesse d’écriture divine….. C’est ce pouvoir qui fait que les pages qui formaient le volume de mon préambule qui me pousse a écrire ces mot aujourd’hui, c’est ce pourvoir qui me ronge tous les jours, c’est ce pouvoir qui me conduit a la vie sur un chemin que l’amour escarpe pour mieux préparer ma mort………………

voila voila

Where did you sleep last night

 

 

 

My girl, my girl, don't lie to me,

 

Tell me where did you sleep last night.

 

In the pines, in the pines,

 

Where the sun don't ever shine,

 

I would shiver the whole night through.

 

 

My girl, my girl, where will you go?

 

I'm going where the cold wind blows.

 

In the pines in the pines,

 

where the sun don't ever shine,

 

I would shiver the whole night through

 

 

Her husband, was a hard working man,

 

Just about a mile from here.

 

His head was found in a driving wheel,

 

But his body never was found.

 

 

My girl, my girl, don't lie to me,

 

Tell me where did you sleep last night.

 

In the pines in the pines,

 

where the sun don't ever shine,

 

I would shiver the whole night through.

 

 

My girl, my girl, where will you go?

 

I'm going where the cold wind blows.

 

In the pines in the pines,

 

where the sun don't ever shine,

 

I would shiver the whole night through.

 

 

My girl, my girl, don't lie to me!

 

Tell me where did you sleep last night.

 

In the pines in the pines,

 

Where the sun don't ever shine,

 

I would shiver the whole night through.

 

 

My girl, my girl, where will you go?

 

I'm going where the cold wind blows.

 

In the pines, the pines,

 

Where the sun don't ever shine,

 

I would shiver the whole night through.

 

voila a quoi je ressemblerai dans 10 ans

            La mélancolie qui m’habite est une profondeur Litchienne qui ne cesse de décupler ces forces pour me combattre. Je suis un homme classique parait-il sans histoire, mais hélas cela n’est rien, en réalité ma personnalité est comme une schizophrénie des profondeur, vous savez la mélancolie aime les masque, et la pluri identité n’est rien de dommageable auprès de la stérilité imaginaire, je ne fait rien pour changer c’est les changement qui me font.

            Je croix que cette autre moi surgie des profondeurs, mon moi masquer n’existe que par le rapport entretenue avec ma famille, comme si j’était une homme bien seulement pour eux, et que lorsque je ne suis plus en lien avec eux je deviens le moi de la surface le moi mélancolique triste moche, le débile profond peu apprécier, le moi que j’aime vraiment.

       Le plus dure lorsque je me doit de jongler avec cette vérité masqué par le quotidien étouffant de la vie de famille, c’est de ne pouvoir être aimer en étant celui que j’aime être, aucune filles, femmes, jeunes femmes ne semblent pouvoir lever les yeux sur quelqu’un de mon genre, je suis beaucoup de mauvaise chose qui sont bonne chez moi je pense, mais essayer donc d’exprimer cette idée à des femmes qui n’en n’ont rien a fiche et qui ne désirent que de l’argent, de la compagnie facile, un confident muet ou un thérapeute sans cœur. Je suis qui je suis et je ne peut plus changer car le monde est arrêter autour de moi…………………...

            En fait je vais vous dire ce que je suis en prenant le texte d’un autre homme, je suis lunatique, impulsif, successible, autiste à mes heures, antipathique, cynique, sarcastique, ironique, paresseux, philosophe, mésophiles, inattentif, aigri………….. Sans compter que je n’ai que l’humour noir et fin pour me distraire……….. De plus je pourrais dire laid mais je croix que cela serai trop alors je vais seulement dire physiquement répulsif.

            Je croix que vous savez maintenant un peu mieux qui je suis, vous les jeunes femmes qui lirez ceci, sachez que si vous éprouvez une pitié quelconque de par ces ligne c’est que vous êtes encore humaine et doté d’une bel esprit alors quitter immédiatement cette page pour ne pas le perdre dans mes tourments et aller voir celui qui partage une relation avec vous il est plus intéressent que moi je vous le rappelle……………

            Toutes fois, si l’une de vous est seul sans plus aucun espoir de rencontrer l’âme sœur, qu’elle prenne contact  avec moi j’ai quelques amis qui son de chics types…….

            C’est peut-être pour tous ce que je suis que je suis seul, monde je t’en pris tourne a nouveau pour m’oublier et me laisser m’oublier moi-même………….. Passe ton chemin et ne te retourne pas brûle moi de ton ombre comme tu le faisait avant de me glacer de ta lumière………………………………….. aime les gens qui ne son pas moi soi fier de les porter sur tes épaules et soi sur que je te quitterais au plus vite………………………