CocaÏne
cocaïne mon amour |
Cocaïne
Recherchant un nouveau genre d'amour
Pas une fille faite de caoutchouc
Quelqu'un qui puisse me faire me sentir comme je veuxs me sentir
Et me dire toutes les choses que je veux entendre
Et m'inciter à perdre le control
Et m'inciter à aller aliéné
Je veux une fille qui fait la cocaïne
Cocaïne (x2)
Elle est surestimée dans sa manière d’être
Sans le moindres indice de réalité
Je veux juste que vous me fassiez me comme je veux me sentir
Et me dire toutes les choses que je veux entendre
Et m'inciter à perdre le control
Et m'inciter à aller aliéné
Je veux une fille qui fait la cocaïne
Cocaïne (X2)
Et je suis maintenant lavé,
J'ai eu mon délire…
tu sait que je te désire
Tu est cette fille qui peut me faire me sentir comme je veux me sentir
Et me dire toutes les choses que je veux entendre
Et m'inciter à perdre le control
Et m'inciter à aller aliéné
Tu est cette fille qui fait la cocaïne
Elle m'a laissé pour un rocker appelé plomb
- Commentaires textes : Écrire
?écrire?
Ecrire... pourquoi écrire ?
L'attente du plaisir est en soi une jouissance ? Moitié ou presque pas satisfaite, elle n'en devient que plus affamée, plus réceptive.
Quant à l'écrivain, il n'est qu'un des lecteurs potentiels de ce qu'il écrit, pas forcément le meilleur, ni le plus admiratif. Pourquoi, dès lors, persévère-t-il dans ce travail ? Pourquoi, échec après échec, ou réussite après réussite, ce qui revient souvent au même, pourquoi continue-t-il à se déposséder de ce qui ne lui appartient pas ? Pourquoi gère-t-il le bien d'autrui, celui de personne ? Pourquoi oeuvre-t-il sur une jouissance, qui n'est plus : son passé, son passif, qui n'a jamais été : désirs tronqués, ratages, manques, qui ne sera jamais pour lui : le plaisir du lecteur ? Réponse immédiate, évidente : l'accoutumance ; son insatisfaction devient un besoin, ses tentatives des esquisses de désir ; sa peur, son effroi d'être humain font le reste : il est difficile de se déprendre d'une activité dont on a passé des années à maîtriser le déroulement, à en comprendre le processus. De la viscosité, à l'origine, ensuite surtout. Impossible de se désengluer, l'oint colle de partout, ça poisse, on gesticule, on voudrait bien s'en défaire, on n'en sue qu'un peu plus. La seule issue est de refuser rôle, fonction, miroir : Il y a bien une écriture mais pas d'écrivain, un travail mais pas de règle, un oeuvrement mais pas d'oeuvre... posture illusoire, certes, mais qui s'accompagne d'un refus d'intronisation. [...]
On se pose toutes ces questions : comment écrire ? Tout ça... qu'est-ce qui fait que c'est du texte littéraire, et pas du texte journalistique, juridique, que sais-je encore, ou même simplement du texte littéral ? Un coin de zinc, deux trois répartis... chez le boucher, sur un canapé, chez soi, des bribes de conversations... la différence, la distinction ? Alors, y faut le dire, maintenant, avant que ne surgissent les Diafoirus avec leur trousse débordante de fioles (styles, narrativité, poétique, etc.), qu'on se le dise bien une bonne fois pour toute : il n'y a rien qui spécifie la texture littéraire. Le texte littéraire est éminemment un texte littéral ; c'est ce qu'on voulait affirmer pour poursuivre un questionnement sur celui qui écrit.
Qui a besoin d'écrire un texte littéral ? Qui ? À quoi bon ? En a besoin celui qui, pour une raison ou pour une autre, retrouve ainsi les interstices d'une parole compromise, pour ne pas dire d'un corps compromis. C'est parce que l'univers social quotidien met en abîme mon corps d'être singulier, c'est parce que ma parole n'a pas accès à son espace de jouissance, autrement dit, c'est parce que je n'arrive plus à me parler au milieu des autres (vivre en terrain étranger, habiter une langue inconnue, la sienne, la maternelle, plus que toute autre), que je m'écris au milieu de moi-même.
Toute cette interrogation est carrée, forcenée, pouvait-il en être autrement ? Car la voilà, la jouissance ! Celle qui ne se laissait pas cerner au début du cheminement : Celui qui écrit jouit d'un accès retrouvé à l'illusion d'une littéralité ; peu importe le rythme de chaque écrivant, peu importe son débit, ses procédés, ses justifications. En m'asseyant pour écrire, je me fraie des ouvertures, orifices sensoriels, je circule dans mon corps, le fais parler, l'anime là où les autres l'éteignent. Littéralité du corps, c'est-à-dire simplement liberté de mouvement, hors cela rien, du bavardage, des idées, rien de substantiel. Ecrire, c'est donc revendiquer littéralement ; c'est littéralement : revendiquer... et en jouir !
Denis Bourgeois
l'alphabetagicien de demain
L’alphabetagicien, ne ressent plus rien il est foutu, il n‘a pas de but, l’érudit en lui est déjà ivre de connaissance futile, ça le rend aigri et blasé avant même de commencer tous ce qu’il faisait avant. L’homme que je suis l’alphabetagicien qui est moi, est triste de n’être aimé……de ne point pouvoir coucher sur le papier le nom d’une dulcinée aux charmes et a l’esprit désabuser. Oui l’homme qui est en moi après les paradis artificieux et malheureux, oui après tous ce qui est passé en mon esprit les chose tentées et bien sur toute ratées, j suis condamner a être la sans être accompagner comme mi sur le pallier mort né je doit me comporter comme un fantôme a l’âmes damné. Je n’ai toujours fait que passer, je ne comprend pas pourquoi j’ai a un moment voulu être remarqué et aimé, je sais pas ce qui c’est passé je n’aurai jamais du lui parler je ne l’aurais sans doute pas fait souffrir de lui montrer mon moi me détruire et de lui dire que je l’aimais et que je l’aime………………..Je suis aujourd’hui rejeter dans ma cellule capillaire bien a l’abri de la lumière, avec pour compagnon Lucifer et Galimère, je me sent mal mais ravie de ne pas l’être plus, oui car au moins je suis quelque part ou personne ne peut venir me tuer de sa beauté de corps et d’esprit. Je suis devenu ce que je combattais un enfoiré au cœur brisé, à l’esprit embrumé, complètement désabusé, ruiné d’existé et triste de ne pas être réellement vivant.
- Commentaires textes : Écrire
mort né
Je suis un alphabetagicien, c’est ce qui ma permis de trouver le son qui guérit le contact de mes larmes, sent le goût de tous ce que nous gaspillons et qui pourrait servir encor a d’autres.
Il m’est insupportable de vivre si je me couche ou me lève et tourne encore en rond. Mes yeux qui étaient finalement grands ouvert se son taries d’ombres, nuages amère de tristesse déjà vécues, mon regard aux grands yeux finalement fermés ma conduit a m’apercevoir que nous nous étouffons de ce que nous gaspillons mêler au nectar aigre doux du temps froisser, qui souffle a travers nos arbres et nage dans nos mers. Il nous vole le dernier halètement qui nous fait passer sur cette terre, c’est un long voyage dans la solitude, de la mort vers la naissance. Au cas ou je mourais encore ?
Au cas ou je mourais autour de mes livres, des matières de ma vies, pleuré par l’espace ?
Je sais que je ne me connaîtrais jamais jusqu'à ce que je parvienne au tête a tête avec mon visage froid, mort dans ma propre boite en bois.
C’est un long voyage en solitaire de la mort à la naissance.
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une lecon d'italien
mon équilibre |
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moi je pense que écrire ce qu'on ressent ça nous libert et on se sent mieux après