dessin du net |
My best friend
You love me for things I’m not
But I never told you, you’re wrong
And all your ideas to me are not…
And now, now I can’t cut along
You said that was my fault
But I had never accept it
Cause you’re the one in fault
It’s you whom haven’t seen it
Soothe my pain
Heal my heart again
Take my pen
Take my pen
Take my pen
Burn my wounds sounds
Soooooooooooooothe my pain
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majijuana
le kit |
All dreams aren’t sweaty
But I can still
I fell so lonely
I think I am hill
All songs aren’t guilty
But I can feel
Their sympathy
I think I am hill
All sex drive aren’t stop
But I can still
I am not on my full stop
I think I am hill
All drugs are crap (pourri)
But I can take it
That’s make me scrap
I think I need it
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Call me Fur Breeze
I wash my hair twice a month, maybe I should once
I could never do anything right
I’ll never be the man you want me to be
I’ll still being sick
I’ll still be pale
I’ll still be small
I’ll still be slim
I’ll still being sick
I cut my hair, so short to became a man, I shouldn’t do it once again
Now I could do what I want, right or no
I did not become the man you wanted me to be
I’m sick
I’m so pale
I’m so small
I’m so slim
I’m still being sick
I’ll still being sick and weak
I’ll be blame because I’m on a plain
I’m on a plain
I’m on a plain
I’m on a plain
Nobody could really love me now, nowww nowww ….
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my last letter
Au revoir à toi mon amie de confiance
Nous nous connaissions depuis
Nos neuf ou dix ans
Ensemble nous avons escaladés collines et arbres
Appris de l'amour et abécédaire
A pelé nos cœurs et
A pelé nos genoux
Au revoir mon ami c’est dur de mourir
Quand tous oiseaux chantent
Dans le ciel
Maintenant que le printemps est dans l’air
Les jolies filles sont partout
Penser à moi et je serais là
Nous avons eu des joies on s’est amusés nous avons eu
Des saisons au soleil
Mais les collines que nous avons escaladées étaient
Justes hors de temps hors saisons
Au revoir le papa prie pour moi s’il te plait
J'étais le vilain petit canard de la famille
Tu as essayé de m'enseigner le bon du mauvais
Trop de vin et trop de chansons
C’est à ce demandé comment ai-je tenu si longtemps
Au revoir papa il c’est dur de mourir
Quand tous oiseaux chantent dans le ciel
Maintenant que le printemps est dans l’air
Les petits enfants sont partout
Quand tu les verras je serais là
Nous avons eu de la joie et du fun
Nous avons eu des saisons au soleil
Mais le vin et les chansons que j’aimais
Les saisons ont toutes disparu
Nous avons eu de la joie et du fun
Nous avons eu des saisons au soleil
Mais le vin et les chansons que j’aimais
Et toutes les saisons ont disparu
Au revoir ma chérie, mon petit
Tu ma aimé et aidé
J’ai trouvé le soleil
Et chaque fois que j'étais à terre
Tu venais toujours près de moi
Pour me relever
Au revoir ma chérie c’est dur de mourir
Quand tous oiseaux chantent dans
Le ciel
Maintenant que le printemps est dans l’air
Avec les fleurs partout
Je souhaite que nous puissions être là tous les deux
Nous avons eu de la joie et du fun
Nous avons eu des saisons au soleil
Mais les collines que nous avons escaladées étaient
Justes hors de Saisons
Nous avons eu de la joie et du fun
Nous avons eu des saisons au soleil
Mais le vin et les chansons que j’aimais
Et toutes les saisons ont disparu
Nous avons eu de la joie et du fun
Nous avons eu des saisons au soleil
Mais le vin et les chansons que j’aimais
Et toutes les saisons ont disparu
Nous avons eu de la joie et du fun
Nous avons eu des saisons au soleil
Mais le vin et les chansons que j’aimais
Et toutes les saisons ont disparu
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t shirt
tie die classical |
Je ne porterais un T-shirt tie die qus s'il eu été délavé par les cycle menstruel de Frances farmer, et par les escrements plasentifs du christ ainsi que par les post mortel matière fécales du King ( Elvis) mort éttoufé dans les poils de la moquette bleu a poils longs de ses toilettes.
Et je serais toujours moi.
Je ne porterais un tie die que s'il eu trampé dans la gerbe ulcérine, sanguine,gluante et profonde de Kurdt Kobaine cette star vaporeuse en cure de desintoxication personnel au fin fond d'un motel americain pommé.
Et je serais toujours moi.
Toujours moi.
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