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Est-ce le christ?
Est-ce le christ? 
Peut-on considérer le rock comme mort aujourd'hui? Pourquoi?

Tout dépend la définition que l'on accorde à un terme vieu de 50 ans, repris à toutes les sauces, par tout le monde. La question est essentielle et au coeur des débats.

Quelques pistes peuvent être abordées:
-Le rock a-t-il changé de forme ou/et de fond?
-Que reste t-il de l'héritage historique du rock? valeurs, idéologie ect...
-Qu'est ce que le "rock" aujourd'hui?

Vous avez une idée, merci et bon courage.

 

grunge'snot dead

 

Alors qu'Ewan McGregor est pressenti pour incarner Kurt Cobain dans un biopic, l'acteur Michael Pitt, héros de "Last Days", vient d'enregistrer son premier album avec son groupe Pagoda.



Sortez vos chemises à carreaux et rangez vos shampooings, le grunge pourrait bien revenir à la mode. On annonce en tout cas la mise en chantier d'un biopic consacré à Kurt Cobain, le leader aussi charismatique que tourmenté du groupe Nirvana, une des dernières icônes du rock'n'roll, qui mit fin à ses jours en 1994. Sa sulfureuse veuve Courtney Love vient d'acquérir les droits de Heavier than heaven, une copieuse biographie parue en 2001, en vue d'une adaptation sur grand écran. Selon le tabloïd britannique Daily Express, Ewan McGregor (qui campa un simili-Iggy Pop dans Velvet Goldmine) serait pressenti pour jouer le rôle de l'auteur de Smell like teen spirit. Une information à prendre avec prudence, aucun réalisateur n'ayant encore été désigné.

Et à propos de Nirvana,
Michael Pitt, qui incarna une rockstar à la dérive fortement inspirée par Kurt Cobain dans Last Days de Gus Van Sant, vient d'enregister, avec son groupe Pagoda, son premier album, sobrement intitulé... Pagoda. A Cannes en 2005, le comédien s'était fendu d'une performance live qui fit sensation auprès de la faune branchée de la Croisette. Gage de crédibilité, le disque, qui devrait être disponible en février Prochain, sortira sur Ecstatic Peach, le label de l'influent membre de Sonic Youth Thurston Moore, lequel fut d'ailleurs consultant sur le film de Van Sant.

Julien Dokhan

 

Pour la culture à la manière de « the stoned magazine »

 

suicide et non crime arretez de penser que courtney la tué
suicide et non crime arretez de penser que courtney la tué 

Il y a 10 ans, Kurt Cobain emportait le «grunge» dans sa tombe.

 

 

 

Qui eût cru que Seattle, cité travailleuse et paisible, berceau de Boeing et Microsoft, engendrerait une déferlante mondiale de rock bruyant et insoumis? Trio aux ambitions modestes, Nirvana a symbolisé le «grunge». Un genre dont le suicide du chanteur Kurt Cobain a annoncé le déclin ou pseudo déclin pour certain. Portrait.

 

 

Seattle, 5 avril 1994: au faîte de sa gloire, mais plongé dans une profonde déchéance physique et morale, Kurt Cobain se tire une balle de fusil dans la bouche, seul, chez lui, sous l'emprise d'une dose massive d'héroïne – un décès controversé. A ses côtés, on trouvera une note adressée à sa femme (Courtney Love, meneuse du groupe Hole, avec qui il entretenait une relation tumultueuse depuis trois ans) et leur fille (Frances Bean, 2 ans). Au cours des mois précédents, Cobain, chanteur et guitariste de Nirvana, avait enchaîné les tournées mondiales et des overdoses d'opiacés et de médicaments déjà plus ou moins assimilables à des tentatives de suicide. Kurt Donald Cobain avait 27 ans, un âge fatidique pour les icônes du rock. Brian Jones des Stones, Jimi Hendrix, Janis Joplin et Jim Morrison furent foudroyés au même âge, un quart de siècle plus tôt. En 1994, la mort de Cobain marque donc la fin brutale de Nirvana. Mais aussi le déclin d'un genre tout entier, appelé grunge. Combinaison des grosses guitares de Black Sabbath, de l'incandescence des Stooges et du MC5, avec le psychédélisme saturé de Hendrix (plus un doigt de simplicité pop façon Beatles, chez Nirvana), le grunge regroupait très abusivement, sous la même bannière, une multitude de groupes au son très différent. Qui bénéficièrent, grâce à Nirvana, d'une ouverture inédite sur le grand public.

 

Synonyme de «crasse», le terme grunge répondait au punk (pour «paumé»), une déferlante de sous-culture qui avait malmené l'Angleterre en 1977. Et le mot dont les fans de Nirvana, Tad, Mudhoney et Pearl Jam aimaient s'affubler était loser («perdant»), en écho au No Future des Sex Pistols. A l'heure où le rock vit soit disant un renouveau avec les Strokes, White Stripes et autres Vines, on peut affirmer sans crainte qu'à ce jour, le grunge a bien été le dernier soubresaut significatif de la musique électrique. Quant à Cobain, trop fragile pour son statut d'icône, il est passé par pertes et profits dans l'exploitation mercantile de cette bonne vieille soif d'absolu qui vide le porte-monnaie des Teens...

 

 

HANTISE DU COMPROMIS

 

 

L'histoire du blondinet d'Hoquiam, Etat de Washington, est d'abord banale, bien que déjà triste – divorce précoce des parents, changement fréquent d'environnement social, violents maux chroniques de dos et d'estomac. «Depuis l'âge de 7 ans, je déteste tous les êtres humains en général», déclarait Cobain, dont la misanthropie inclut la haine de soi. Le succès n'arrangera rien à l'affaire. Très tôt réfugié dans la musique, celui qui allait devenir le leader de Nirvana et l'idole d'une génération avait la hantise du compromis. «Commercial»: le terme sonnait comme une maladie dans la bouche de ce fan de musiques underground, qui avait fait son éducation dans les concerts hardcore de Black Flag et Fugazi, et avait appris la guitare avec Buzz Osborne, des intraitables Melvins.

 

Passée l'euphorie – de faire mixer son deuxième disque par le producteur de Slayer, d'entendre ses chansons à la radio, de voyager dans le monde entier avec son groupe –, place aux contradictions. Le premier album (Bleach, 1989) avait été enregistré en une journée pour la somme de 600 dollars et était paru chez Sub Pop, label indépendant de Seattle jouissant d'une crédibilité totale. Vinrent ensuite la signature chez une major (Geffen, propriété du groupe Bertelsmann) et le multiplatiné Nevermind, paru en 1991, avec ses tubes qui allumèrent la mèche et remplirent les caisses. A commencer par l'immortel «Smells Like Teen Spirit» et sa vidéo en rotation continue sur MTV: l'intro de batterie surpuissante, le riff de guitare entêtant et le refrain hurlé, directement adressé aux tripes. Un classique qui passe toujours à la radio et dans toute soirée «disco» digne de ce nom.

 

 

GÉNÉRATION X

 

 

Le succès planétaire de Nevermind prit tout le monde de cours: 10 millions de copies vendues à travers le monde. Du jamais vu à ce niveau de décibel et de rage. Il fallait analyser le phénomène, car il dépassait largement le cadre musical. Tapissé sur les murs des chambres d'ados, imprimé sur des millions de t-shirts, le visage de Kurt Cobain a rejoint celui du Christ, de James Dean et du Che au rayon des martyrs populaires. On a dit que la jeunesse américaine (et mondiale, dans son sillage) avait eu besoin d'un électrochoc. Pour faire tabula rasa des frustrations engrangées pendant les années Reagan/Thatcher. Pour revigorer la culture populaire, en redonnant aux guitares leur mordant, face à la tyrannie d'une pop fadasse et la débâcle de la new-wave (The Cure avait viré pop, U2 donnait des concerts de masse dans des stades, comme Prince et Madonna). Cobain, lui, incarnait le mal-être et l'hypersensibilité d'une Génération X sans véritable idéal, ayant surtout souffert de l'indifférence et du manque d'excitation. «Nevermind», ou «laisse béton» – l'instinct rebelle, chez Nirvana, ne se nourrit pas pour autant d'illusions.

 

L'été 1993, In Utero, troisième et ultime album studio de Nirvana, fut disponible simultanément dans les mégastores de New York, Paris et Bangkok, comme dans les «duty free shop» des aéroports. Le disque était vendu avec un slip portant le logo «Nirvana». Malgré sa production signée Steve Albini, théoricien alternatif et producteur respecté pour son travail avec The Jesus Lizard, les Pixies et PJ Harvey. Cette collaboration fut une ultime concession arrachée au business par Cobain et ses acolytes, qui se sentaient piégés et ne cachaient pas leur dépit d'être écouté par les «beaufs» dans leur 4x4. Ironie du sort, la mort de Cobain – qui se voyait bien passer à l'acoustique, façon Johnny Cash, ou envisageait de rejoindre Hole – aura été pour Nirvana une porte de sortie radicale.

 

 

a vous de repondre

 

clodo ou rock star sur le déclain rock star ou clodo médiatisé

clodo ou rock star sur le déclain
clodo ou rock star sur le déclain 

Quelles sont les différences entre star et musicien mendiant, si ce n’est que l’argent récolté est différent en somme et en forme, et que les journalistes préfèrent violer (interviewer) un mec tiré à quartes épingles ?

répondez lachez des coms.........

 

Le grunge est mort, vive le grunge !

 

devinez ou est Kurt ? !!!! ?
devinez ou est Kurt ? !!!! ? 

Le grunge est mort, vive le grunge ! Même si ce look n'est plus tendance du tout, beaucoup d'irréductibles continuent à s'habiller " bûcheron-cracra ". Un point sur cette anti-mode... passée de mode.

 

Le grunge: des jeunes en colère

 

Fin des années 80, petites villes glauques américaines. Des jeunes en révolte contre le rêve américain, désillusionnés et sans idéologie, se mettent à la musique. Ils n'ont rien à dire, si ce n'est qu'ils détestent le système et qu'ils n'ont rien à dire. Beaucoup de bruit et de guitares pour un courant musical que l'on appelle le grunge. En français, ce mot signifie "crado, dégueu ". En réaction à la surenchère des paillettes et des stars tirées à 4 épingles, et par désintérêt profond pour les fringues, les groupes de grunge s'habillent comme des épouvantails. Parmi eux, Kurt Cobain, le leader de Nirvana, devient une célébrité. Il ne se rase pas, porte des jeans troués, des tee-shirts fatigués. Le chanteur se moquait bien de son look mais ses fans se sont immédiatement dit: " génial, on s'habille comme Kurt ". Ironie du sort, l'anti-mode est devenue mode et la musique grunge connaît un succès phénoménal. C'en est trop, le mouvement s'étouffe vers 1993. Kurt Cobain quitte ce monde en 1994, et beaucoup de grunges recommencent à se laver les cheveux.

 

Mimi cracra

Pourtant, certains persistent dans le grunge. Leurs cheveux pendouillent, ils portent des chemises à carreaux, des treillis, des vestes en cuir qui ont fait la guerre. Des rangers et des baskets, des tee-shirts de groupes de musique, usés si possible, complètent la panoplie. Filles comme garçons s'habillent de la même manière, pour un look unisexe par excellence. Que veut nous dire le grunge? Qu'il hait la société de consommation et qu'il n'est attiré que par les mouvements alternatifs, les musiciens qui protestent dans leur cave en traînant les pieds. Il prétend qu'il néglige son apparence, jugée superficielle. Mais en fait, son look en dit long sur lui-même. Il se néglige parce qu'il a peur de plaire. Bien souvent, les personnes adoptant ce style se cachent derrière des vêtements trop amples pour éviter de mettre leur corps en valeur. Ce look contestataire sans être agressif montre plutôt une difficulté à se sentir bien dans sa peau, dans le monde dans lequel il vit, et avec sa famille. Il illustre le malaise adolescent. Bien souvent, lorsque le grunge grandit et devient plus épanoui, il jette alors ses loques à la poubelle. Il a alors tué le grunge qui était en lui !

 

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