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film qu'il me faille absolument retrouver

 

Velvet Goldmine

(photo: Jonathan Rhys Meyers dit Brian Slade, star de glam rock dans ce fabuleux film)

Le film s'ouvre carément sur la naissance d'Oscar Wilde à Dublin en 1864...il est trouvé sur le pas de la porte des Wilde (abandonné par on ne sait pa trop qui, on vient quand même de voir passer un OVNI lol) Il porte un étrange bijou: une émeraude sur une broche...

Cent ans plus tard (en 1964, vous savez compter!), un gamin qui s'appelle Jack Fairy trouve cette mystérieuse broche après s'être fait tabasser par ses camarades (il était pas comme les autres car son ambition était de devenir une star)

On passe en 1970, Brian Slade donne un concert à Londres où il es très célèbre et puis paf pendant le concert quelqu'un lui tire dessus...certains affirment que c'est un canular, une mise en scène par Brian lui-même pour s'éclipser de la célébrité.

Ensuite (oui le film montre beaucoup de choses différentes mais qui sont liées) en 1984 à New York un chanteur sans âme nommé Tommy Stone triomphe... Le journaliste Arthur Stuart doit enquêter sur le faux meurtre de son idole Slade (oui il habitait en Angleterre à l'époque et comptait parmi ses fans! Il se trouvait d'ailleurs au concert...) et où Brian se trouve aujourd'hui...

(photo provenant du site: www.velvetdemon.com)

 

(photo: sur le tournage de Velvet Goldmine...)

Alors votre personnage préféré: Curt Wild, Brian Slade, Arthur Stuart, ou Jack Fairy? Moi, je vous laisse deviner lequel je préfère si vous croyer savoir lachez un coms............. héhé

 

(photo: Ewan McGregor dit le déchaîné Curt Wild, prise sur le site www.velvetdemon.com)

Dans son enquête, Arthur (Christian Bale) interroge le premier agent de Brian Slade, et Mandy Slade (Toni Collette) qui est l'ex-femme de la star, ainsi que l'américain Curt Wild (Ewan McGregor!)

Avec ce dernier, Brian avait eu une liaison...

On apprend quasimen tout sur les relations entre les persos,  et puis l'ascension/chute de Brian...on revoit Jack Fairy (en dandy précurseur du glam, très androgyne), et Brian lui prend la broche avec l'émeraude. Ce bijou ira plus tard à Curt et même à Arthur, c fou! Oui, parce que le journaliste a sa part dans le film, on plonge dans son passé quand il étai fan de Brian (il a été chassé de chez lui car son père l'avait trouvé en train de se masturber devant la photo explicite de Brian et Curt sur scène...)

Puis, Arthur le journaliste pénètre dans le milieu underground londonien et rencontre Brian Molko entre autres, et  même Curt Wild à la soirée "Mort du Glitter" (présentée par Jack Fairy et avec Brian Molko au chant!)

Sachez qu' Arthur réussira à établir un lien entre le chanteur Tommy Stone et Brian Slade (Brian est-il Tommy?!)

HUMMMMMMMM sispainncssse HIHI

 

bully film a voir et a revoir

 

BULLY

Connaissez-vous ce film de Larry Clark? Comme dans tous ses films on trouve des ados à poil, des problèmes de violence, de la drogue tant qu'on y est...en fait c un portrait de l'Amérique désenchantée, les parents n'ont plus d'influence et les jeunes sont alors livrés à eux-mêmes...Ce film m'a vraimen plus, il es violent et cette violence devient banale car les protagonistes la perçoivent comme telle! C'est dérangeant. Ce film est tout simplement honnet et c'est ca le choc..........

En fait l'histoire repose sur un meurtre. Deux potes de longues dates: Marty et Bobby vivent en Californie, ce sont des gosses de riches. Mais voilà, Marty es martyrisé par Bobby (le titre "Bully"="tyran" en français),ça a toujour été comme ça entre eux. Un jour, la petite copine de Marty s'en rend compte et décide d'y remédier, car en plus l'une de ses amies s'est faite violer par Bobby. Michael Pitt arrive (On ne voi pa que ses cheveux et son dos comme dans Last Days de Van Sant lol) et avec d'autres teenagers, ils décident de concevoir un plan pour ce débarasser de ce sale type, oui le tuer...

Les plus sensibles ne suporteront pa de regarder ce film, il est sans pudeur et vulgaire verbalement. C'est un cinéma cru, Larry Clark montre les choses et il a du mérite car peu de cinéastes osent le faire comme lui.

Un film intéressant, qui donne des sensations fortes...

(photos: affiche et screencap (Michael Pitt) du film Bully de Larry Clark)

 

IGGY POP ...... corn ki donne korn

 

Biographie de Iggy Pop

Son torse appartient à l'histoire. En 40 ans de carrière, Iggy Pop n'a cessé de l'exhiber, le tordre, le lacérer sur scène. Un spectacle autodestructeur qui a inspiré une tripotée de chanteurs et fait de lui LE show-man du rock. Un moyen aussi de libérer la frustration que le jeune James Osterberg a accumulé depuis son enfance. Elevé dans une caravane, raillé à l'école pour sa petite taille et ses origines modestes, James comprend très vite qu'il ne deviendra pas expert-comptable. Pour ne pas frapper ses camarades, il se met à la batterie et enregistre en 1964 plusieurs 45 tours avec les obscurs Iguanas. C'est au sein des Stooges qu'Iggy s'empare pour la première fois du micro. Son jeu de scène et la violence des chansons du groupe le propulsent au rang d'icône de l'avant-garde bruitiste de la fin des 60's aux côtés du Velvet Underground. La décennie 70 est plus sordide : adoré des punks (un privilège rare) mais drogué jusqu'à l'os, Iggy vit dans la rue. Un matin, paniqué, il se rend de lui-même à un centre de désintoxication après s'être réveillé dans son vomi. Peu à peu, l'ancien Stooge remonte la pente. David Bowie, fan éternel, lui remet le pied à l'étrier en 1977 en élaborant avec lui 'Lust For Life' et 'The Idiot', ses deux premiers albums solo. Depuis, cette bête de scène entretient sa légende de concert en concert, signant une musique de film par-ci ('In The Death Car' pour 'Arizona Dream' en 1993) , un nouvel album par-là. Les Stooges se sont même reformés en 2004.

Les anecdotes d'Iggy Pop

C’est beau, oui...
Iggy Pop est l'une des principales influences de David Bowie, qui le lui rend bien : plusieurs fois, le 'Thin White Duke' a sorti son ami de l'hôpital pour le ramener en studio, lui trouver une maison de disques, produire ses albums... Bowie a également repris 'China Girl' sur son album 'Let's Dance' de 1983 pour qu'Iggy, créateur du titre, perçoive les droits d'auteur et puissent payer ses impôts !

Reptiles
Depuis son passage au sein des Iguanas, Iggy Pop est surnommé 'l'iguane'. Le parallèle avec le 'lézard' Jim Morrison n'en est que plus évident, les deux chanteurs dégageant, chacun à leur manière, une sexualité bestiale...

Duos
Iggy Pop a multiplié les collaborations avec des artistes d'horizons bien différents. Citons, entre autres, son duo de 1990 avec Kate Pierson des B-52's ('Candy') , le morceau 'My Love Is Bad' avec les Rita Mitsouko en 1993 ou le succès 'Little Know It All' avec Sum 41 sur l'album 'Skull Ring' de 2003.

 

dico util

 

"D'ou vient le mot « grunge » ?


Fin des années 1980, le journaliste Bruce Pavitt, co-fondateur du label indépendant Sub Pop, utilise le premier le terme anglais « grunge » (qui désigne les mycoses entre les doigts de pieds) pour qualifier la musique des groupes de la région de Seattle (Washington):

 

« Comme il s'habillaient comme des clodos et que leur son de guitare était sale, j'ai trouvé que ce mot résumait bien cette scène musicale. »"

 

La saleté s'est écoulée vers les égouts des supermarchés du disque et il ne reste rien du bruit et de la fureur... à part parfois des parodies du grunge, qui pour certaines, décalées et débraillées, ne seraient peut-être pas reniées par le pape autosanctifié du grunge, Kurt Cobain...

 

 

 

livre a acheter quand je serais riche

 

Avec la révolution de Nirvana en 1991 grâce à l'album " Nevermind " ; c'est tout un pan du rock alternatif américain qui rencontre un succès universel. L'envol du groupe a sorti de l'ombre le rock grunge, qui émergeait à peine d'un monde hermétique de clubs, de fanzines et de labels indépendants. Le rock alternatif s'est finalement imposé comme un nouveau genre dominant au début de la décennie 1990 et de nombreux artistes ont été propulsés, dans le même temps, sur la scène internationale.

 

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