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encore du blabla

 

Je suis peut être un timbré complet, du genre lessivé du bocal, complètement azimuté, mais une personne de plus vient de céder à mes assauts pour pénétrer la secte des amateurs d’honnêteté! Enfin, d’honnêteté … De l’écoute d’une musique honnête…

Je suis un mordu complet, je l’admets. Et pourtant, rien ne me prédisposait à un tel revirement de situation. Il y a quelques mois encore, je vous aurais énoncé mon ennui profond à l’écoute de ces frasques inutiles, mais un ennui vitale. Et pour cela il faut replonger à mes années collégiennes…

En ce doux temps de la troisième (qui restera la pire classe que je n’ai jamais eu, a l’exception de cette petite blonde toujours gentil avec moi, je l’oublierais sans doute jamais. C’est d’autant plus frustrant que je n’ai plus aucun contact avec eux, et ce n’est pas faute d’avoir essayé… J’ai, je crois, le syndrome de la plante verte… Ca fait joli dans la décoration, mais ce n’est qu’un meuble vivant… Quand la plante s’en va, car je suis une plante grimpante qui migre, on l’oublie vite… Enfin, passons, je suis de trop bonne humeur pour déprimer avec aussi peu de matériau…), durant un cours de français, nous travaillâmes sur l’Opéra Des Noces de Figaro (en comparaison à la pièce de Beaumarchais, Le mariage de Figaro, que tout le monde à lu au moins un jour dans sa vie, grâce aux volontés totalitaires de notre chère éducation nationale… Personnellement, sur ce point très précis, je les remercie… En revanche je leur en veux toujours aussi mortellement de m’avoir fait ingurgiter Les Confessions de Jean Jacques Rousseau… Tel un canard gavé pour un foie gras mi cuit pour la table de noël, on m’a forcé à lire ce livre qui me tombait des mains vers un précipice d’ennui sidéral…).

Ce travail m’avait très modérément intéressé, c’est l’époque ignoble où je confondais encore une suite d’hurlements de Cobain avec de la musique d’abruti, cas sociaux en hôpital psychiatrique… Ce n’est qu’au moment où je suis allé à un concert de grunge parisien, en représentation à l’époque en plein aire sur la butte de Montmartre, que j’ai cru partir en effervescence psychédélique a la manière des rock star des 70 avant tous ces star punck rock tous rachitique, pervers et macho… La mise en scène, inexistante, m’avait semblée complètement dingue j’étais perdue, je n’étais dans ce que je pensais les dvd musicaux m’avais m’entaient sur les concerts c’était tellement mieux qu’ils ne les laissaient voir. Et cette impression terrible d’être dans un gigantesque ascenseur surpeuplé et enfumé pendant trois heures ma quitté…

A partir de cette bouleversante expérience, je me suis braqué contre le punck rock bien garage de Seattle le GRUNGE et le GARAGE… la majorité des gens disent : « C’est nul, c’est chiant, ça pue, on décède d’ennui chronique, et en plus on saigne des tympans… » Ce n’est que deux ans plus tard que je commençais doucettement à tenter quelques incursions dans le monde sonore de la musique dite bruyante… Profitant de la monstrueuse discographie paternelle, j’abordais la chose facilement, les disques des Beatles pleuvant sans cesse, les autres Rolling Stones constamment présent, et surtout The Knacks et autres The Shadows… Curieusement, je commençais à saisir, bien que confusément, la beauté de ces œuvres, oublieuses des impératifs des standard radios (3 minutes avec minimum 4 refrains, un riff, et du rythme binaire…BAD SOLO BAD adieu les piste morte VERSE CHORUS VERSE).

Ainsi donc, sans excès de zèle, je me laissais aller à écouter quelques œuvres, mais pas de rock machiste déglingué… La cicatrice était encore trop profonde pour m’y plonger… Dernier acte en date, un cadeau de noël absolument monstrueux de la part de mon géniteurs adorés : l’intégrale de Nirvana plus connu sous le nom de WITH THE LIGHTS OUT ! Cet orgasme sonore en un seul coffret, coup de marketing génial…Le seul problème de ces coffrets, est que, bien que la qualité d’enregistrement soit honnête, certaines œuvres méritent mieux que du mono… Il y aura du rachat dans l’air, dès que je serais riche à foison, roi des biocarburants ou empereur des derniers gisements de pétrole de la planète… Avec une installation sonore crédible et un goût mieux calibré pour investir dans du son, il y a du boulot…

Bref et pour faire moins long, ce coffret contenait l’intégrale des ceux qui avais déjà été diffusé plus une poigné d’inédit… Après m’être enfilé toutes les pistes, toutes les démos, la musique de chambre… Il a bien fallu attaquer les lives…

Je commençais par L’enlèvement au Sérail (c’est encore ce j’écoute tandis que je vous rédige ces inepties qui n’intéressent que moi-même ! lol). Mon dieu ou toute autre entité dominante, il ne devrait y avoir que vous pour écrire cela… Au cours d’un cours (haha, le jeu de mot pourri par excellence…), un prof avait énoncé une idée à laquelle j’adhère, dont j’avais déjà discuté avec un fanatique de Bach qui se reconnaîtra. Les grands musiciens (ou artistes en général, mais il n’y à pour moi que la musique qui atteint cette autre réalité quasi mystique) inventent Dieu. Quand La Passion selon St Mathieu commence, c’est un soleil au zénith qui transperce le plus beau vitrail, et soi baigné de cette lumière multiple, aveuglante, c’est une pression terrible de puissance par la grâce, on est comme pénétré le plus intimement possible dans son esprit, son cœur et son âme, avec la sensation confuse de frôler l’inatteignable. Et tous les musicologues dissèquent encore ces œuvres magistrales, les rendent mécaniques et froides, techniques, mais secrètement toujours à la recherche de Dieu (Je vous précise que je suis un athée confirmé…).

Et bien les Opéras de Cobéniènne m’atteignent ainsi. Ils sont d’une beauté, tellement simple et évidente, j’ai des frissons à chaque mouvement, dès l’ouverture. L’enlèvement ovnien de l’honnêteté grande et fragile me transporte, la basse m’essence, la batterie m’enchante, SAPPY me sublime, SPANK THRU me transcende… Ce sont des bonheurs écrasants, comme une drogue auditive, dont déjà je ne peux plus me passer. Voilà pourquoi j’ai il y a quelque temps, dans un état de démence proche du crétinisme financier (pas proche en fait, tout à fait au milieu !), d’investir dans un bijou de lecteur MP3 de Sony, d’une capacité de 8 giga (je sais ce n’est pas assez !), histoire de les avoir toujours en poche… D’un seul coup mes périples en train à venir, revêtent les draps du plaisir…



<formulas>

J’ai franchement craqué sur ce lecteur. Je suis un impulsif dans beaucoup de domaines mais là, je m’impressionne de bêtise. En fait, ça faisait un moment que j’économisais lentement et sûrement pour me l’offrir, mais l’objectif était de me le payer APRES mes examens de fin d’année… J’ai craqué… A force d’aller pleurer de désir sur le net, à lire et relire sa fiche technique, j’ai profité de l’excuse d’avoir un « souci » avec mon ancien lecteur pour le changer. (En fait il n’y a aucun souci, j’ai égaré je ne sais où le câble de raccordement à mon ordinateur, du coup, impossible de le recharger… Plutôt que de racheter un câble, j’ai changé de lecteur… Vous avez dit excessif ?)

Enfin bon bref, je n’intéresse que moi. Je vais faire un show off social technologique ridicule avec ce baladeur. Je le sais en plus, qu’il s’agit exactement du comportement mouton du consommateur « j’achète donc je suis », mais je dois avouer que pour le coup, je suis tout à fait d’accord pour le jouer, volontaire même. Dites moi qu’il est sublime ce lecteur, que je suis devenu quelqu’un de fréquentable parce qu’il est dans ma poche, que ce lecteur révèle ma supériorité culturo-socialo-économique sur vous, pauvres raclures d’humanité ! Pardon, je m’emporte et je plaisante bien entendu, vous n’êtes pas des raclures… Ce n’est pas moi qui le dis, c’est le marketing ! Enfin, je l'ai là, entre mes doigts frémissants... Splendide...

Bref, j’ai profité d’avoir une victime sous la main ce week-end pour lui infliger mon film culte (Déjà préalablement revisualisé trois fois cette semaine…En fait j’ai trois films cultes : Last Days, pour la beauté et la puissance des sentiments qui s’en dégagent, Edward aux mains d’Argent, pour son esthétisme et sa rêverie nostalgique, puis Pump Up The Volume, car ils s’agit d’un exploit cinématographique, une révolussion social sans crime,  le film dégage malgré tout un souffle rarement atteint selon moi dans les scènes de nus… A part peut être dans les INNOCENTS, celui là aussi je le vénère…), puis l’écoute de Alice in Chains, le volume à 22, confortablement installés, une tisane à la main. Et bien en voilà une qui auparavant ne chantait que les louanges de Bénabar, et qui maintenant vient de pénétrer une autre dimension dans la perfection !

Comme quoi, même les imbéciles changent d’avis (je parle de moi hein ! Qu’on arrêt de croire que j’insulte les gens à longueur de temps, notamment à l’insu de mon plein gré !). L’année dernière j’aurais fui en courant une invitation à une fête du bahut, maintenant, j’attends d’aller concrétiser ma nouvelle passion dans une salle… Et puis il y en a tant d’autres ! Moongoose , Beck, Bush… Que de bonheurs m’attendent ! Je n’aurai jamais assez de toute une vie pour m’enivrer de tous ces soleils présents ! Il y a tellement d’art en ce monde qui mérite la passion. Je suis un inculte en peinture, en sculpture, en théâtre, en littérature ou encore photographie, tout juste balbutiant en cinéma et musique… Je vais aller demander une rallonge à cet enfoiré de ST-Pierre, laissez moi vivre éternellement, ou réincarnez moi souvent, avec une base de donnée intacte ! L’eau du Styx et ses pertes de mémoire corrélatives, très peu pour moi ! Illusions…. (Résultat des courses, c’est encore une fois un écrit embrouillé… Je devrais rebaptiser ce blog «Fur-Breeze» !)

A la prochaine, à moins que, tellement transcendé par un nouvel éclat musical, je me meurs, le cœur explosant en ma poitrine, terrassé de beauté ! Il y a peu de chances que ça arrive quand même, enfin j’espère…

 

 

 

TRENT LANE

 


Tant mieux si ça te plait de me voir souffrir

Et bruler de désir plus qu'une poële à frire

Quand je t'ai embrassà, mon amour, quel carnage

Tu m'as mordu le nez et craché à la face

Ouaille! Mon nez, oh ma face

Oh mon nez, oh ma face

 

Chiènne de vie

 


 

Tu m'as mis un collier de porc
Avec des crans cloutés
J'obèïs, au pied, couché
Ma bouffe est rationnée
Pas de caresses
Avoue que ca stresse
Je peux te dire que j'en ai bavé
J'envie tous les batards du quartier
Ca se paie cher un pédigré
Ouaaaouuuuhhhhh.

Ouaaaouuuuhhhhh.

 

daria déjà culte comme série (elle n'existe qu'en divx pirate ouhin ouhin )

 

Daria - Les personnages.

Synopsis

Cette série met en scène Daria Morgendorffer, une lycéenne dont la vie est vouée à la marginalisation.

Véritable contraire de l'adolescente type d'aujourd'hui, elle apporte au monde télévisuel une certaine touche d'humour à la fois subtile et totalement décalée par son cynisme déjanté.

La jeune fille vit avec sa mère, avocate et carriériste, qui consacre bien plus de temps à ses affaires en cours qu'à ses affaires de toujours, c'est-à-dire, ses enfants. Elle apprend donc très vite à se conformer à ce monde si vaste, dans lequel personne ne daigne vous accorder une once d'attention.

Helen Morgendorffer est le type même de la mère qui pense être parfaite, en accusant un contraire révoltant. Son père, traumatisé par une enfance rude, est caractérisé par une bêtise sans précédent malgré ses efforts pour devenir un père exemplaire et dévoué.

Cerise sur le gâteau, elle souffre de la présence d'une jeune sœur superficielle et dont la bible est sans conteste inscrite dans les manuscrits du club de mode et les revues pour midinettes.

Dans ce monde sans pitié, Daria trouve du réconfort auprès de Jane, sa meilleure amie, avec qui elle partage la même vision du monde. Fille d'un couple de hippies tout droit rescapés des années 70, dont le paternel se trouve être un éternel baroudeur.

Au fil des premières saisons elle a un faible pour Trent, l'un des deux frères de Jane, guitariste et chanteur du groupe grunge Mystik Spiral, puis elle s'éprend d'un jeune homme de bonne famille, Tom, ex de Jane, avec qui elle partagera la cinquième saison, avant de s'évaporer définitivement du monde cathodique…

Personnages

Les proches de Daria

 

  • Daria Morgendorffer : dix-sept ans, des lunettes en cul-de-bouteille, une veste verte indéfinissable, telle est Daria qui se moque des apparences et défie l'opprobre de ses petits congénères lycéens décérébrés par de cinglantes réparties sarcastiques qu'ils ne comprennent pas la plupart du temps. Aime principalement la littérature. Elle porte une paire de DocMartens noires, ce qui lui confère, associé à son ironie cinglante et à la BO de la série, un côté indéniablement punk.

Citation : "Je ne me sous-estime pas, c'est une erreur. C'est tous les autres que je sous-estime."

  • Quinn Morgendorffer : quatorze ans, sœur de Daria, est aussi superficielle que sa sœur est intelligente. Ce qui ne veut pas dire qu'elle est sotte, mais elle consacre toute son énergie à choisir ses tenues avec ses amies du club de la mode et à jongler entre ses différents rendez-vous avec des garçons (au moins aussi populaires qu'elle, c'est la règle). Elle cachera au Club de mode que Daria est sa sœur jusqu'à l'épisode "Piqués de grève". Sa rivalité avec Sandy est une constante dans la série bien que de ce point de vue Quinn soit un tant soit peu plus futée qu'a l'accoutumée.

Citation : "Dis moi ! Quel est mon meilleur profil ?"

  • Helen Morgendorffer : mère des deux précédentes, avocate d'affaires hyper-stressée et hyper-bookée, mais qui aime ça. Malgré ses tares incurables, elle est quasiment la seule adulte parfois raisonnable et sensée de la série. Malgré son approche martiale de la psychologie, elle arrive souvent à comprendre Daria.

Citation : "Eh bien Daria... attends une minute, Allo ?"

  • Jake Morgendorffer : consultant (en quoi, on se le demande) en freelance, il accumule les bourdes professionnelles, les réponses à côté de la plaque et les fuites en avant. Totalement incapable de surmonter son enfance désastreuse, il fuit toutes ses responsabilités en accusant au choix, son défunt père, Helen ou encore son ordinateur.

Citation : "Mais enfin MERDE ! Helen !"

  • Jane Lane : artiste tourmentée, meilleure (et seule) amie de Daria. Elle partage avec elle le goût pour l'ironie et la passion pour l'émission trash Triste monde tragique (Sick Sad World en VO). Elle a un faible pour le jogging et certains jolis garçons. Plus franchement punk que Daria, elle porte elle aussi une paire de Docs, et a trois piercings à l'oreille gauche, que laissent voir ses cheveux. Elle peint toujours lorsque Daria est chez elle, regardant généralement le début de l'émission Sick Sad World.
  • Trent Lane : frère de Jane, la vingtaine, chanteur et guitariste et auteur au sein du groupe grunge au nom éternellement provisoire Spirale Mystik. Dort ou répète, au choix, et inspire à Daria un doux sentiment pendant au moins trois saisons. Malgré son détachement vis à vis du monde qui l'entourre, il cache une profonde affection pour sa sœur, et un attachement certain à Daria, la lycéenne la plus cool qu'il connaisse selon lui.

Citation : "Bonsoir ! Euh ... nous sommes les Spiral Mystiks ! Mais on va bientôt changer de nom."

  • Tom Slone : Étudiant de classe prépa, il est le fils d'une famille influente de Lawndale. Malgré ça, sa mentalité se rapproche plus de celle de Daria que de celle d'un enfant gâté. D'abord petit ami de Jane, qui le rencontre lors d'un concert des Spirale Mystik, il se rapprochera graduellement de Daria, malgré l'animosité initiale de l'héroine à son encontre. Il finit même par laisser tomber Jane pour elle, ce qui ne manquera pas de créer quelques tensions entre les deux amies.
  • Le reste de la famille Lane : le père, Vincent, toujours absent, photographie les beautés du monde, la mère, Amanda, passe son temps à faire des poteries, le frère, Wind, adolescent attardé, en est à son deuxième divorce, la sœur, Penny vend des cadres en fer blanc en Amérique Latine et la dernière sœur, Summer, a eu deux enfants qui la fuient plus ou moins.

Les lycéens

 

  • Brittany Taylor : pom pom girl blonde avec couettes, voix aigue, forte poitrine et petit cerveau. Elle est relativement gentille, sauf quand on touche à « son » Kevin. Il lui arrive d'avoir d'étonnants moments de lucidité qui laissent ses camarades bouche bée. Dans un épisode, elle parvient même à remonter le moral de Daria alors que Jane a échoué.

 

  • Kevin Thompson : petit ami de Brittany, quarterback talentueux de l'équipe de foot des Lions de Lawndale, il est encore plus stupide que Britanny, qu'il prend pourtant parfois de haut. Sa mémoire ne dépasse pas les dix secondes. À noter la sexualité débridée du charmant petit couple.

 

  • Jodie Landon : brillante étudiante noire, déléguée de classe, Jodie fait tout pour être à la hauteur et servir aux Afro-américains de la ville. Elle est totalement privée de la moindre distraction par ses parents, bourgeois républicains insupportables.

 

  • Mickael Jordan MacKenzie : Mickeal James MacKenzie à l'origine, il à été renommé ainsi à 12 ans après que son père ai vu un match des Chicago Bulls. Appelé Mack (ou « ma vieille » par Kevin). Petit ami de Jodie, il est le seul garçon intelligent et raisonnable du lycée, et il est également le seul membre de l'équipe de foot à savoir compter.

 

  • Charles « Upchuck » Ruttheimer III : un lycéen rouquin chétif et obsédé, qui voit la moindre lycéenne comme une proie potentielle de sa libido débridée, sans espoir, évidemment (du moins jusqu'au dernier téléfilm où il parvient à séduire Andrea, la gothique du Lycée).

 

  • Le club de mode : Sandi Griffin, la présidente, est une peste qui envie furieusement la popularité de Quinn et s'en venge en la rabaissant "courtoisement", reproduisant ainsi l'ancienne rivalité entre sa propre mère et Helen Morgendorffer, Stacy Rowe est une fille un peu trop gentille qui a un léger faible pour Upchuck, Tiffany Blum-Deckler, l'asiatique, est une « plante verte » dénuée de toute personnalité, totalement égocentrique et ponctuant la plupart de ses phrases par des "La la" de sa voix lente et monotone.

 

  • Joey, Jeffy et Jamie : trois inséparables beaux gosses analphabètes qui passent leur temps à « ramper » autour de Quinn et à se disputer son attention.

Les professeurs

 

  • Angela Li : proviseur d'origine asiatique. Elle est totalement sans scrupule, surtout quand il s'agit de renflouer les caisses du lycée ou quand elle peut utiliser ses élèves pour se faire mousser. Elle tyrannise les élèves, méprise les parents et spolie les enseignants. Achète de nombreux équipements high-tech plus à leur place au Pentagone que dans un lycée, le tout dans le but à peine caché de fliquer étudiants et enseignants.

 

  • Timothy O'Neill : professeur d'anglais (de littérature), très (trop) gentil et sympathique, mais dénué du moindre charisme et beaucoup trop optimiste et naïf pour son métier. Il donne des devoirs inspirés et pleins de bons sentiments, mais qui tournent toujours au désastre pour ses élèves. Vit une passion torride mais subie avec Mme Barch.

 

  • Anthony DeMartino : professeur d'histoire, traumatisé par le Viet-nam et son salaire misérable, il passe son temps à houspiller ses élèves, notamment Kevin et Brittany, qu'il interroge sans cesse. Il est victime d'hypertension, et son œil droit, injecté de sang, se dilate régulièrement sous le coup de l'émotion. Malgré tout, il affectionne tout ce qui peut lui nuire : le jeu, les bûchettes de fromages frites, le hockey en salle et le paintball.

 

  • Janet Barch : professeur de sciences, elle en veut à tous les hommes depuis que son mari l'a quitté pour une femme plus jeune après 20 ans de mariage. Du coup, sa notation est tout sauf objective, elle surnote les filles et opprime les garçons, en particulier Kevin et Mack. Malgré tout, elle saute à la moindre occasion sur M. O'Neill, qui est un homme sensible, lui.

 

  • Claire Defoe : professeur d'arts plastiques, une hippie évanescente qui porte Jane aux nues.

 

  • Diane Bennett : prof d'économie une femme mal habillée aux schémas incompréhensibles

 

À noter également quelques apparitions d'une professeur d'éducation physique, une harpie qui ne jure que par le sport en dénigrant toute autre activité.

Épisodes

Première saison (1997)

   1 (1- 1) : Les Égocentriques (Esteemsters)
   2 (1- 2) : Frime, Mensonge et Parano (The Invitation)
   3 (1- 3) : Très chère fac (College Bored)
   4 (1- 4) : Le Café des poètes disparus (Cafe Disaffecto)
   5 (1- 5) : Piège Commercial (Malled)
   6 (1- 6) : Un modèle à ne pas suivre (This Year's Model)
   7 (1- 7) : Des souris et des mômes (The Lab Brat)
   8 (1- 8) : Les Délices du baby-sitting (Pinch Sitter)
   9 (1- 9) : Belle à tout prix (Too Cute)
  10 (1-10) : L'Affaire Morgendorffer (The Big House)
  11 (1-11) : Sur la route de Palooza (Road Worrier)
  12 (1-12) : Nature, Sweet Nature (The Teachings Of Don Jake)
  13 (1-13) : La Nana déprimée (The Misery Chick)

Deuxième saison (1998)

  14 (2- 1) : Chef d'œuvre en péril (Arts'n Crass)
  15 (2- 2) : Une sortie très éducative (The Daria Hunter)
  16 (2- 3) : Super cerveau (Quinn the Brain)
  17 (2- 4) : Gai, gai marions-nous (I Don't)
  18 (2- 5) : Douce nostalgie (That Was Then, That Is Dumb)
  19 (2- 6) : Dur, dur d'être une star (Monster)
  20 (2- 7) : Brève rencontre (The New Kid)
  21 (2- 8) : Chez les surdoués (Gifted)
  22 (2- 9) : Rouge tomate (Ill)
  23 (2-10) : Une fête parfaite (Fair Enough)
  24 (2-11) : Rien ne sert de courir (See Jane Run)
  25 (2-12) : Les Joies du piercing (Pierce Me)
  26 (2-13) : La Fureur d'écrire (Write Where it Hurts)

Troisième saison (1999)

  27 (3- 1) : Lentilles ou lunettes ? (Through a Lens Darkly)
  28 (3- 2) : Une semaine de bonté (The Old and the Beautiful)
  29 (3- 3) : Les Jours de fête (Depth Takes a Holiday)
  30 (3- 4) : Grand bal du lycée (Daria Dances Party)
  31 (3- 5) : Une visite incognito (The Lost Girls)
  32 (3- 6) : Un travail à la noix (It Happened One Nut)
  33 (3- 7) : Daria ! (Daria!)
  34 (3- 8) : Joyeuses familles (Lane Miserables)
  35 (3- 9) : Cœur et rancœur (Jake of Hearts)
  36 (3-10) : Roulez jeunesse ! (Speedtrapped)
  37 (3-11) : Les « Daria files » (The Lawndale Files)
  38 (3-12) : On nous mène en bateau (Just Add Water)
  39 (3-13) : Multimédia, multirisques (Jane's Addition)

Quatrième saison (2000)

  40 (4- 1) : Les Joies du tandem (Partner's Complaint)
  41 (4- 2) : Les autres, la Nature et moi (Antisocial Climbers)
  42 (4- 3) : La Métamorphose de K (A Tree Grows in Lawndale)
  43 (4- 4) : Faisons un rêve (Murder, she Snored)
  44 (4- 5) : Fiasco ? … Bingo (The F Word)
  45 (4- 6) : La Folle farandole (I Loathe a Parade)
  46 (4- 7) : Mon père, ce fardeau (Of Human Bonding)
  47 (4- 8) : Psychothérapie familiale (Psycho Therapy)
  48 (4- 9) : Courses infernales (Mart of Darkness)
  49 (4-10) : Chair de poule (Legends of the Mall)
  50 (4-11) : Un ange passe (Grouped by an Angel)
  51 (4-12) : Au feu ! (Fire!)
  52 (4-13) : Art déco (Dye! Dye! My Darling)

Cinquième saison (2001)

  53 (5- 1) : Jackpot (Fizz Ed)
  54 (5- 2) : Ça se fête (Sappy Anniversary)
  55 (5- 3) : Grosse comme moi (Fat Like Me)
  56 (5- 4) : Agoraphobie (Camp Fear)
  57 (5- 5) : Mauvaise nouvelle (The Story of D)
  58 (5- 6) : Piqués de grève (Lucky Strike)
  59 (5- 7) : À l'ombre des tournesols (Art Burn)
  60 (5- 8) : Les Affinités sélectives (One J at a Time)
  61 (5- 9) : Rétro-actif (Life in the Past Lane)
  62 (5-10) : Les trois sœurs (Aunt Nauseam)
  63 (5-11) : La Bourse ou l'intégrité (Prize Fighters)
  64 (5-12) : Ma nuit chez Daria ! (My Night at Daria's)
  65 (5-13) : C'est mon choix ! (Boxing Daria)

Téléfilms

  • 2000 : Vivement la rentrée (Is it Fall Yet?)
  • 2002 : Adieu le lycée (Is it College Yet?)

Commentaires

À l'origine, Daria était un personnage secondaire de la série Beavis and Butt-Head. La série, qui a connu un véritable succès, fait désormais partie des archives de la très célèbre MTV.

 

Générique de fin

A noter aussi le générique de fin, illustré d'un fond musical et de représentation des personnages dans les costumes aussi divers qu'improbables sans cesse renouvelés.

Cela va d'une Daria Souriante à un Trent grimmé en Daria.

 

Produits dérivés

DVD et VHS

Il n'existe pas de DVD de la série, une seule sortie de quelques épisodes au format VHS (Ntsc), a eu lieu aux États-Unis.

Les téléfilms sont disponibles au format DVD (Ntsc).

Il existe une pétition pour que sorte le DVDaria en français


Voici aussi un lien pour le site officiel en fracais http://www.daria-fr.net/ tout en sachant qu'il existe de nombreux site officieux de meilleur qualité je pense.

 

regardez les épisode de sick sad world

 Planete Daria

 

qui a des sous et qui veu me faire plaisir un peu? ? ?

 

BECK le lose magnifique

 

C'est la chanson "Loser" qui a fait connaître Beck Hansen du grand public. De piètre qualité technique, ce morceau qui allie blues, hip-hop et musique d'ambiance, est immédiatement devenu l'hymne d'une génération. Considéré, au départ, comme l'homme d'un seul succès, Beck a pourtant surpris tout le monde en devenant l'idole du millénaire à venir. En mélangeant les styles musicaux actuels à ceux du passé, il a créé un son inimitable. Ses albums ont été acclamés par les critiques et les fans du monde entier.
Avec BECK, Le Loser magnifique, on a enfin une biographie sérieuse de l'artiste. L'histoire est complète et si elle va chercher du côté de la mythologie, c'est parce que la vie de Beck est déjà une légende.

 

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