Dieu est amour

L'amaour est aveugle

Dieu est aveugle

Ceci n'est pas une citation de cet acteur réalisateur...

Lachez vos coms les mecs ( mec = terme amical pour surfur rien de sexiste les filles son aussi les mecs)

Tu es si gentil.

Dis-donc, je t'ai été infidèle la semaine dernière : j'ai passé mon temps à dévorer des cerises au pied de l'arbre... indécent !
Les tiennes ont également du mûrir, non ?
Et les tomates ? Elles en sont où les tomates ?

J'ai connu des gens qui pensaient qu'ils n'en étaient pas. Que seuls les autres étaient des gens. Ces gens-là pensaient que les gens valaient moins qu'eux (pour diverses raisons, allant de la taille des seins ou du nombre de livres qu'ils avaient achetés en passant par leur carte de crédit, voire même la couleur de leur peau).Pourtant, ces gens en étaient, des gens. Sauf que c'étaient des autres, ou que c'en étaient d'autres.
Vous conviendrez que ce n'est pas la même chose, même si vous êtes avachis devant votre PC, savourant les larmes écrites qu’internet parvient à matérialiser à côté des bouquets de fleures poussiéreuse aux parfums nauséabonds des souvenirs passés, du verre d'eau a peine plein, de son état, bizarre bigarré mais surtout bidonnant par excellence, de drôles de numéros que vos envies goûtent autant que quiconque.
Sauf que: qui serait ce quiconque?
Un quidam, à tous les coups.
Quelqu'un d'autre.
Mais! Des personnes pensent profondément que les autres ne sont personne, ou alors que personne n'est tout le monde, de la même manière que n'importe qui n'est rien d'autre que pas eux.

C'est assez limpide, comme fonctionnement.

Mon excellente amie (…)  me disait que de son point de vue les gens étaient tous humains, et je parierais qu'Yves Coppens explique que c'est carrément la raison pour laquelle nous avons réglé la situation trouble du Neandertal, qui bien qu'ayant un plus gros cerveau que celui de « monvotre » (notre ne conviens pas ici) ancêtre, n'était pas une personne, ni un gens d'ailleurs.
Comment se fait-il alors que nous ne pensions jamais à nous comme étant les gens des autres? (Ou l'autre des gens, ça va de soi).
Serait-ce que nous ne sommes pas assez évolués pour voir et entendre, côtoyer et croiser autant d'individus en une journée? Que, si le malheur ou le bonheur d'une personne privée nous touche assez facilement, celui de 1xxxxxx (ajouter les zéros) devient franchement gênant? Même si ça se passe sous nos yeux, si ça se respire, s'entend, se touche. Même si on avait pris contact avec un ou plusieurs de ces gens- je veux dire, avec un ou plusieurs de ces autres. Tout ceci pourrait paraître abstrait à un passant, une inconnue, piéton navigateur, égaré (en)cyclopédique, chercheur de gens, un pignouf en somme? Sauf à nous autres qui ne sommes pas comme les autres, bien qu'étant un chacun. En se disant qu'il importe d'être au meilleur de soi. Pourtant : Ne vous a t'on jamais demandé si vous étiez un particulier? Si oui, ne répondez-vous pas par l'affirmative? Seriez-vous par conséquent d'accord pour dire que les gens sont les gens, et que ce n'est pas donné à tout le monde?

Hélas.

Je me demande vraiment comment il se fait que je soit l'autre, mais crois-je qu'il soit préférable que je sois l'un?

Car être l'un n'empêchera pas que je puisse n'être que l'un des autres.

Je me suis toujours aussi demandé comment il se faisait que l'on reconnaissait d'emblée, viscéralement (comme un vécu), dans l'autre un autre soi, quel fond de complicité foncière nous fait nous reconnaître comme une espèce de gens justement ?

Percevoir ce qui nous dérange en l'autre, ce qui est le plus étranger à nous même, n'est-ce pas de l'intuition justement, quand c'est cette distance que tu apprécies? Il semble que ce soit cette différence, cette complémentarité que tu recherches, et ton inconscient te donne une perception immédiate, dérangeante, de tout ce qui est autre que toi. Pour mieux te dire qu'il pourrait t'être précieux. Ceux-ci qui fonctionnent sur la similitude, la recherche de ressemblance, auront une intuition sous forme de coup de foudre ou de connivence immédiate. Cette dernière forme d'intuition est plus facilement repérable, mais la première est tout aussi sûre, quand on a compris comment elle s'exprime...
Finir par apprécier, aimer, désirer ce qui était le plus étranger chez l'autre est je crois un des plus profonds apprentissages de la vie à deux...   (Confère les règles pour un couple qui fonctionne dans ce même blog à une page suivante)

they called me Fur-Breeze

but they did not realized

I was more than a ghost

more than a dark

lonely boy,

I have dreams

and when I smiled

the world held it's breath.

I was more

than the shadow of a child

more than my unbroken stride.

my bloodied suit

was more than cool

it was me

a skin I couldnt shed.