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voila je suis grunge mais je susi aussi jeune des 90 comme vous

 

 

"Les ordinateurs, à l'image de l'imprimerie et de la communication électronique, reflètent la tendance actuelle dans la société. Tout comme la jeunesse des années 60 - la jeunesse des années 90 réincarnent les mêmes tendances. Mais la génération née de "l'amour libre" des années 60 oublient le rejet par la société et dans les églises des mouvements des années 60 et 70 tels que le "Jesus movement" (mouvement de jeunes pour Jésus). Les responsables d'églises semblent inconscients de l'influence de ces mêmes tendances que celles des années 60 et risquent de perdre la jeunesse d'aujourd'hui. Nous oublions que les désirs et les instincts des jeunes des années 60 font parties de la vie courante dans nos églises aujourd'hui. Nous oublions que les idées radicales de la génération rebelle passée, rebelle sont devenues des routines actuellement. Nous forçons notre idée postmoderniste sur les jeunes des années 90 quand le postmodernisme lui-même commence à disparaître. Nous vantons sans honte notre croyance, mélange de "new-age" et de l'époque "hippie" alors que nous entrons dans une période post-hippie. La jeunesse des années 90 n'est pas celle des années hippie. En fait, les jeunes actuels sont les ennemis jurés des responsables d'églises nés dans les années 60. La sous-culture des jeunes déteste les valeurs de leurs aînés. La jeunesse méprise le narcissisme de l'âme des adeptes du new-age. Elle déteste la pauvreté de leur spiritualité commerciale. Le résultat est clair, la jeunesse de notre temps se montre hostile à toute institution née des années 60 qui dicte aux jeunes une croyance quelconque. La génération de "hippie" de leur côté déteste les goûts des jeunes, méprisent leurs vidéos et dvd vulgaires et expriment leur dégoût pour leurs vêtements sans beauté du genre "grunge", leur nez percé et leurs tatouages. Ils ne supportent pas la soi-disant arrogance et la franchise des jeunes sans engagement et leur paresse extrême. L'animosité qui règne entre les deux dépasse le saut entre les deux générations. C'est un manque de compréhension totale. Les enfants nés de l'amour libre des années 60 ne perçoivent pas la douleur de la première génération de jeunes orphelins et seuls... seuls face aux foyers brisés et aux parents séparés par les absurdités de la télévision "substituts des parents". Les aînés oublient que ces jeunes sont les premiers à vraiment sentir le choc de l'absence de tout absolu moral....les premiers enfants à qui on a volé leur caractère et leur personnalité....sans doute la dernière génération à mettre leur confiance dans une religion institutionnelle. Les héritiers des années "hippie" ignorent que les enfants de notre époque se trouvent dans un vide économique noyés sous un manque d'emploi et le sous-emploi... et ils ne peuvent pas payer la pension de leurs aînés. Voilà pourquoi la jeunesse est colérique, brisée, seule, sans racines, fatiguée de vivre mais encore si jeune. Il n'est pas étonnant que les jeunes rejettent et luttent contre le succès matériel des aînés. Mais les jeunes des années 90 possèdent quelque chose que la génération hippie, matériellement bien installée, ne comprend pas. Ils tracent un chemin vers la spiritualité, bien que lointain et imprécis, mais qui puise une profondeur que leurs aînés ignorent. Ils sont à l'aise dans la culture, le langage et l'apprentissage de l'âge digital et un jour les anciens de la génération hippie vont devoir demander pardon. "Les jeunes comprennent intuitivement que Dieu est le grand créateur, mais pas le grand imitateur. Nous retrouvons une harmonie entre les jeunes et les ordinateurs. Les jeunes s'ennuient vite et se détournent de toute routine, ennui et habitude pour aller vers ce qui est imaginatif, énergique et innovateur. Ils préfèrent créer leur propre entreprise plutôt que d'être un objet bureaucratique dans une multinationale. Ce sont les enfants de leur temps qui vivent dans une économie digitale basée sur l'innovation et qui produisent les idées et la créativité. La réalité virtuelle est une ouverture vers la foi et reflète le désir de croire en ce qui n'existe pas. De la même façon, leur communauté reflète la communauté digitale à venir car leur culture se nomme la culture populaire. Ils refusent tout ce qui est passif, refusent d'être un spectateur dans l'adoration comme les anciens et rejettent la passivité de l'âge de la télévision. Les jeunes réclament une participation, un dialogue, une interactivité, parce que leur communauté est la nouvelle communauté. Nous quittons la communication d'un à plusieurs vers une communication digitale de un à un. Les mots à la une se nomment interaction, interdépendance, collaboration, dialogue. Les jeunes se retrouvent en groupements par intérêts communs. Il y a quelque chose d'intensément spirituel dans cette nouvelle jeunesse. L'idée de se connecter dans une autre espace est une notion spirituelle. L'idée d'une toile d'alliance composée d'individus est une idée qui rappelle un principe chrétien. Et pour la première fois le corps du Christ pourrait devenir véritablement global si l'église pouvait ouvrir le cœur de la jeunesse d'aujourd'hui- en le faisant elle ouvrira la porte vers le futur. Mais l'ouverture ne peut se faire selon les conditions des anciens mais sur le terrain des jeunes. L'église doit entrer dans un nouveau lieu très Saint. Pour toucher les jeunes il faut sentir leur douleur. Nous devrions voir leurs âmes torturées et aliénées, cette force qui poussent néanmoins les jeunes en avant. Les jeunes aujourd'hui savent ce qu'est la souffrance dans leur âme bien plus que les enfants des années 60. Nous devrions reconnaître qu'ils Dieu mais d'une façon différente et totalement nouvelle et dans un langage nouveau. La recherche d'une communauté est un besoin criant pour les jeunes. En réalité ils n'ont jamais surmonté la souffrance de leurs foyers brisés et leurs parents séparés. Ils recherchent un sens d'appartenance, et l'église ferait bien de répondre à cet appel.

 

 

voila

 

On est en majorité responsable du destin "tragique" de Kurt car en fait nous somme tous partisants de l'industrie du disque qui la ronger.... On l'a pri pour un guignol et il en ai mort...

 

question

 

A quoi ça sert ça ?!

 

 

 

une BD qui me tente

 

 

Résumé de l'album : L'album retrace la vie de Kurt Cobain, depuis sa naissance à Aberdeen (Etat de Washington) jusqu'à sa mort en Avril 1994.

Au fil des pages, le lecteur découvre un enfant extrêmement sensible, très perturbé par le divorce de ses parents, qui se défoule sur un tambour et massacre les chansons des Beatles (hyperactif selon son médecin) ; un adolescent rebelle (ici, ce n'est pas un pléonasme) qui passe ses colères sur ses guitares et goûte à toutes les substances illicites qui lui tombent sous la main (ou lui passent sous le nez) ; puis la star complètement dépassée par son succès phénoménal, fragilisée par sa dépendance puis son combat contre la drogue.

Ce défilé un peu sombre est quand même entrecoupé de quelques pages d'amour, notamment celles relatant la rencontre (à moins qu'il ne s'agisse d'une collision) avec Courney Love, la muse de Kurt Cobain, mais aussi son épouse et la mère de son enfant... "son premier et son dernier amour". 

 Chronique de l'album : Presque 10 ans après son suicide, le leader du groupe Nirvana, n'en finit pas de venir nous hanter. Il ne s'agit pas cette fois, d'une mélodie inédite, d'un journal ou d'une biographie, mais d'une bande dessinée, mêlant réalité et fiction : l'un des hommages les plus originaux et les plus émouvants dédiés à Kurt Cobain.

Ici, pas de révélation sulfureuse, mais une approche à la fois réaliste (sans fausse pudeur) et empreinte de cette aura magique, propre aux légendes.

Grâce au pinceau de Flameboy, Kurt Cobain apparaît tantôt sous les traits d'un Peter-Pan très dissipé, puis d'une sorte de "clochard céleste", et enfin, ceux d'un ange déchu, implorant pour sa rédemption... à la fin, on se prend à espérer - avec les auteurs - que l'esprit de Kurt Cobain n'est pas mort, mais aussi, qu'il aura enfin trouvé la paix et le bonheur auxquels le leader de Nirvana aspirait malgré tout.

 

 

un ptit clip?

 

http://www.kewego.fr/player/?csig=iLyROoaftgut&sig=iLyROoaftYuF

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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