loser
Toujours dans cet espèce d'état un peu léthargique je rentre chez moi après une journée de bahut où hormis beaucoup écrire et un peu lire je n’ai rien fait a par répondre à une ou deux questions pour justifier ma bourse. Et bu beaucoup de cafés. Bon une petite douche, un petit coma de quelques minutes allongé sur mon lit et faut déjà que je reparte à une réunion avec la famille d’une amie que je parraine. Bon la fille à un problème d’alcool et en gros faut que je l’aide. Ca me met de mauvais poil et puis le manque de sommeil et les hectolitres de café, je suis au taquet. Bon je rentre chez moi faire une petit somme mais je suis énervé comme une puce d'eau et je me demande comment retrouver la grâce qui semblait mienne il y à quelques années à peine. J'écoute « Nirvana » en boucle et je me dis faudrait écouter autre chose mais je réussi à peine écouter le dernier « alter bridge ». J'y reviendrais. Ca me semble un peu trop propre. Ca peut laisser des séquelles (heu là c'est une digression que seuls les heureux locataires du bruit javellisé pourront comprendre). Je pense à cette lettre d’amy mais bon je vais y revenir plus tard. Je me demande à qui annoncer la nouvelle et puis j’me dis personne. Je pars à la préfecture avec le père de la fille que je parraine -putain avec moi comme parrain elle ne serat jamais sevrée. La journée passe vite faut que je retourne travailler. Je dors un peu avant de retourner au bahut et je lis un peu le dernier livre que j’ai volé. Je pense à tous ces prétendus artistes qui soutiennent l'autre connard en lisant le titre. "Tout se paye". Si ça pouvait être vrai. Si ça pouvait être vrai. Si ça pouvait être vrai. Si ça pouvait être vrai. Si ça pouvait être vrai. Si ça pouvait être vrai. Si ça pouvait être vrai.vSi ça pouvait être vrai. Si ça pouvait être vrai. Si ça pouvait être vrai. Si ça pouvait être vrai. Si ça pouvait être vrai. Si ça pouvait être vrai. Si ça pouvait être vrai.vSi ça pouvait être vrai. Si ça pouvait être vrai. Si ça pouvait être vrai. Si ça pouvait être vrai. Si ça pouvait être vrai. Si ça pouvait être vrai. Si ça pouvait être vrai. Si ça pouvait être vrai. Si ça pouvait être vrai. Si ça pouvait être vrai. Si ça pouvait être vrai. Si ça pouvait être vrai. Si ça pouvait être vrai. Si ça pouvait être vrai. Si ça pouvait être vrai. Si ça pouvait être vrai. Si ça pouvait être vrai. Si ça pouvait être vrai.
le temps
J’suis fatigué d'être fatigué. Epuisé d'être épuisé. La gueule dans le désert, les cernes dans l'écran. Seul. Enfin. Génial le bahut où on est seul pendant 8 heures et où personne ne peut être réellement gentil avec vous. J’suis cinglé mais pas cinglant. Aujourd'hui mon père, ce bouquet de fleurs (j’ai le rhume des foins), une journée avec lui, toujours aussi allumé. Comme tous les hommes de ma vie, né entre le 1 er janvier et le 31 décembre. J'erre là, j'ai de l'attrait mais je ne suis pas attrayant. Je trouve de la légèreté et de la candeur à tout. Mais merde pourquoi il fait chaud à nouveau. Putain, je suis un enfant de l’or temps moi, un garçon sans calendrier. Oh il ne fallait pas pour les fleurs. En guise de champagne, mon père m'emmène en pèlerinage sur la tombe de ma grande mère. Après nuit blanche dans le bunker de la dernière rafale, matinée ensoleillé sur cimetière vide. On prend la voiture, j'ai horreur de ce moyen de transport tant indispensable, ça me rappelle trop de mauvaise choses, tu sais, avant de devenir un espoir mort-né j'ai été un espoir tout court. C'était il y à loin-temps, avant que je devienne ce prolo alcoolo qui écrit plus beaucoup mais trop. C'est la que je me rends compte de l'âge qui galope. Mon père est un jeune vieux et je ne le vois pas ainsi. C'est un grand-père un peu courbé. Même si il donne le change. Fringues assez moderne et physique pas trop fripée. C'est de famille. Cette résistance aux éléments du temps rongeur. Emma dit ça : « Incroyable qu'avec ce que tu t'es enfilé et ce que tu picoles t'es ce visage absolument pas marqué. C'est le physique qui tic. Tu as perdu la jeunesse de l'instant, l'éphémère courage de foncer dans le mur. Mais tu te tiens. Bon tu es facilement ému pour un rien. Le manque de sommeil, d'alcool ou le contraire. Tu deviens une sorte de midinette. Tu te demande comment le temps va s'écoulé. Mais comment dire. Tu ne dois vraiment pas être imbu de toi-même. T'es heureux. Juste parce que tu n'es attaché à rien. Tu te fiche de tout alors pour toi c’est dimanche tous les jours. Juste parce que tu ne connais pas demain. T'es qu'un sale gosse. Tu fais fausse route. Mais plus de place pour le doute. Tu aimes la déroute. Et c’est ce que j’aime chez toi… ».
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Mike ?
Huum..ca m'intrigue bien tes dernieres frases.."tout se paye.. si ca pouvait etre vrai..." heuresement que ca n'est pas le cas pour tout! t'imajine autrement?! les services que tu rend au gens, ton amitié, ton amour! ca c'est du pur gratos! et ta tjr des pour boire..car on te le rend aussi! il y a des chose qui se paye qd vraiment c'est cécéssaire! mais ca on s'en fou..! ché pas comment dire.. des fois faut etre égoiste, et penser a soi un peu! car a force d'aider son prochain ds chaque situation..la ca se paye ca toi tu n'aboutira pas a tes projet..aider ca c'est sur mais avec modération! et pas aveuglement!
si ca se trouve je dit desconneri et ke ca na rien a voir avec toi!! je te connais a peine a lors jai fait au feeling ^^
jespere a un autre article aussi "tordu" pour ke je me creuse le tétio a trouver ce ki en ressort...yeaaaah !
allé tchaooo Bisouus ^^
C vrai ke le rôle de parrain est assez innattendu pour toi, mais en y réfléchissant à plusieurs fois, en fait, il te sied comme un gant. En la faisant avancer, tu avances toi même...Bizz mon cher;)