Car c’est un animale qui vie seul mais qui a besoin de ses congénère pour survivre. Je suis un peux comme eu, j’aime être seule, mais je ne pourrais me passer des personnes qui son autour de moi, mais amie, mais proche. Et pour temps je ne suis pas comme eu du moins c’est ce que je me di, je me vois différent, doux le pingouin a droite avec la crête, si proche et si différent, cela semble si dérisoire comme résonnement que j’en viens a me dire qu’il serait bon pour moi d’abandonner cette coquille et de refaire se qui a échouer. Remette le sens des valeurs a leur place et voir le ciel sou un jour nouveaux.

(dave pirner)

      Une fois arrivée à un certain stade d’évolution de votre être, votre vie change malgré vous. Les personnes que vous côtoyez chaque jour vous influencent sur vos choix, vos désirs et même jusqu'à quelquefois s’immiscer dans votre style vestimentaire. Un changement de lieu ou même de travail revient à dire à une personne qu'elle va changer. Elle va s'adapter à son nouvel environnement et par conséquence changer d'attitude face à vous. Vos amis auront une certaine difficulté à se retrouver en vous car des fois le changement est spontané. Et ils diront : « vous allez changer » Mais comme dirait la fatalité, la survie d'une espèce passe bien souvent par son évolution, sa mutation. Un changement d’un tous ou juste d'une petite partie. Les autres l’acceptent ou non. En ce qui me concerne je vais continuer ma vie sans que l'on puisse me reprocher d'avoir fait des choix égoïstes et personnels.

Maintenant votre jugement m’indiffère, car il m’a bien des fois trop blesser

Quand  je suis  malade. Je m'éveille le matin, déshabitué de dormir, et j'assiste d'un bout à l'autre à ce drame dont l'intrigue, l'époque et les personnages me sont  aussi peu familiers que l’est ma propre vie. Ajouterai-je que je les tien  pour rébarbatifs.
C'est quelque temps après, lorsque quelques sentiment me forçaient  affectueusement la main, que j'arrivais à sortir l'écriture  du vague où le récit  tenais en marge, comme il nous arrive, malades, le matin de prolonger nos rêves, de barboter entre chien, loup et toutes autres chimères morts nées, et d'inventer un monde intermédiaire qui nous évite le choc de la réalité.
Une fois le poème écrit, je me documentai, je me trouvai en face de mes fautes de fabuliste et je décidai de m'y tenir.
Sauf «la fleur qui parle» qui me vint d'un fait personnel (la communication intra univers par le bourdonnement sentimental qui est en moi) toute l'œuvre me fut donnée, je le répète, par moi-même. Il ne faut voir dans ce don aucun privilège bien au contraire.

La drogue est souvent l'échappatoire de chose qui nous perturbent...ou c'est aussi un moyen de s'évader du stress ...elle est pourtant nocive pour certaines personnes, fumé un joint pour décompressé de temps en temps tout en gardant une vie professionnel et social normal n'est pas foncièrement grave pour moi, mais gober des pilules à longueur de journée ou ne serait-ce que le week-end la on peut dire que ça devient inquiétant ...savoir ce stoppé n'est pas si facile à dire qu’a faire, il faut parfois avoir le courage d'en parler, vous pouvez même en parler à votre médecin, ne vous inquiété pas il n'en dira pas un mot à vos parent si vous le lui demandé car il est tenu au secret professionnel et il saura vous aider et vous écouter ou si vous préféré laissé moi des commentaire avec vos question et je vous y répondrais.