J’ai des problèmes relationnels et conflictuels. Je me sens incompris, stressé, je suis anxieux, dépressif...

J’ai l'impression d'être décalé, de ne pas être né à la bonne époque ou au bon endroit.

Je subis des tensions et des agressions.

Je souffre d'une fatigue existentielle.

J’éprouve un sentiment diffus et latent de vide, une incapacité à gérer mes inquiétudes et mes émotions.

Je ressens un mal être général et une instabilité de mes valeurs, ma vie est dépourvue de sens.

Je laisse tomber les masques. Je sors de l'illusion, de l'avoir et du paraître.

Je prends pleinement conscience de mon être intérieur.

Je suis authentique. 

Et puis je m'endors... et je rêve... d'encore... d'ailleurs.... en dehors de mon être, sur une autre planète, quand l'autre était une belle imposture et que je n'étais pas toujours en meilleur posture... Quand le vent me portait et que je le laissais faire, quand les bulles pétillaient et que j'en redemandais ... encore...

Certains disaient lire dans mes yeux, tout n'est pas si limpide... dans mes rêves mes yeux sont brouillés, presque aveuglés... Ils ne mentent pas, ils ne disent rien... Ils sont là vitreux presque vitrifiés...

Mais dans mes rêves ce sont mes mains qui parlent, qui s'égarent, qui disent pour ma bouche, qui lisent pour mes yeux... Je marche à tâtons et j'appréhende chaque partie de ce corps qui m'a été remis... Je découvre des courbes, les creux, les perfections comme les imperfections... J'apprends chaque détour, je réapprends... J'embrasse les embrasures, je caresse les rondeurs d'une épaule fine...

Je dors encore quand il me réveille...
Une imposture encore...

Si tu étais une imposture, tu étais une très belle imposture...

Laissez-moi encore être bernée...

Lève le doigt et pose ton question les com’s c’est juste là              ↓

Je viens de me rendre compte que je suis un autiste une fois que je dessine, <formulas>  

le contact social m'emmerde et ce qui se passe autour de moi m'indiffère... durant le moment... où je gribouille...ça me fait peur...

Je ne sais pas trop quoi penser cet état d'indifférence et de... je m'en foutisme absolu...

Je devrai peut être dessiné 24h sur 24h ...

Une envie de tout déchirer se déclenche alors si on a le malheur de me perturber... (Ce que je peux me haïr souvent ...) un peu comme dans les films ou le héros souffre d’être lui-même. Je me souviens d’un exercice sur les taches à l'aquarelle où l'on devait voir des trucs dedans, ce n’est pas ma faute si j'ai vu...ce truc...je devais encore être dans un sale état d'énervement...