unplugged
D'abord parlons du plateau Unplugged, c'est un plateau télé de MTV, une émissions ou passait tout les dinosaures de la musique qui voulait redonner un coup de jeune à leurs vieux tubes car c'est une émission où on veut que les instruments soit débranché puisque Unplugged veut dire débranché. D'Eric Clapton à Rod Stewart beaucoup de star passèrent sur cette émission qui était plus qu'un show télé mais une véritable institution.
A ce moment là Kurt Cobain commence à perdre la tête, il ne supporte pas cette situation de chouchou et il accepte en début d'hiver 1993 l'invitation de MTV car il pense que ce concert accoustic le représentera comme quelqu'un de vraiment sincère, gentil et pas seulement comme un hardrocker voulant faire le plus de bruit possible.
Le soir du concert se passe très bien, Kurt fait de l'humour mais est aussi très émouvant, il ne fait pas obligatoirement rimer accoustic avec ballade de santé, le groupe joue des titres totalement inconnu, Kurt chante d'une voix pures, le concert est un vrai triomphe et l'événement médiatique est très important. L'album Unplugged était né.
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je pleure et alors?
. Il y aura toujours quelque chose de toi qui resteras.
Les étoiles clignotent dans le ciel et on écoute Savage Garden dans mon mp3. Matin de demain ou d’hier... Sourires aux lèvres. Bientôt on sera en 2040.
100 ans de plus, alors que seul milles rêve pourraient me reposer. Du temps de plus.
Aimer Perdre et Grandir. Pleurer. Parce que le monde c'est toujours pareil. Je pense à elle, je m'endors avec une boule dans le ventre et je me réveille en croisant les doigts pour qu'elle soit partie du reste de mon esprit. Pleurer mais ravaler ses larmes le plus longtemps possible parce que c'est aujourd’hui demain.
Oublier ou pleurer.
C'était la vie et c'était beau. Tout ce monde à la maison, les rires et papa au bout de la table. Mon papa qui voit que ça ne va pas. Le même qui me donnait des chocolats sous la table quand on j’étais petit, papa qui m'avait acheté une couverture pour réchauffer mon cœur d’enfant autiste. Mon jeans est propres quasiment neuf. J'oubli que ça ne va pas et je parle je ris je cours après ma petite sœur excité comme puce un matin de noël et après son chien Maxi qui fuit comme un lapin. Le poisson rouge n'a pas de nom. Les verres s'entrechoquent à Minuit et je porte ma sœur dans son lit. Une amie veut rester dormir mais elle doit partir demain là où il neige. On se serre fort et elle s'en vat avec les yeux qui brillent, sans voir que les miens pleurent de ne plus l’apercevoir bientôt.
A l'intérieur, c'est fragile. C'est petit, fragile, et ça risque de se briser en mille morceaux. Creuser à l'intérieur pour tout enlever. Faire partir ces souvenirs, les poser dans un coin de mon cœur rouillé par les larmes du temps passé. Sentir ses bras m'entourer encore une fois. Entourer mon cœur, entourer mes milliers de morceaux pour les recoller un à un. S'asseoir en boule, comme un petit garcon qui a peur la nuit sous l’orage. Les yeux rouges, les joues mouillées, le mascara a coulé. Ne pas parle, laisser se faire les choses. Elle s'assied à côté et elle ne me pose pas de question. Parce qu'elle ne pose jamais de question, elle attend. C'est comme des règles de notre jeu. Du bout de son doigt elle essuie la larme qui roule et du bout des lèvres, elle pose un baiser sur mon front. Doucement. J'ai mal. C'est tout ce que je dis.
J'ai mal à en faire trembler les murs, à en briser des silences. Elle m'attire tout contre elle. Elle me parle mais je n'écoute pas. Elle me parle et je n'entends pas. Mais elle parle de sa voix rassurante et c'est ça qui compte. Elle prend ma main et elle me relève. Elle n'est pas beaucoup plus grande que moi mais elle a de la force. De la force à l'intérieur. Pour me porter moi. Moi et mes souvenirs qui plombent mes épaules rachitiques, moi et mes pleurs qui si lourd écrasent le ciel sur mon front. Je lui souris en retour. Seconde règle vas y parle moi. Elle me répond et je redescends. Il doit être trois heures du matin et ça sent bon. Papa pose sa flute à champagne sur la table. Il joue le padrino : Tu as faim ? Tu as mangé aujourd'hui ? Il connaît la réponse, il ne s'aventure pas. Pas ce soir. Il me regarde, il me sourit et il fait des crêpes à trois heures du matin. Et je parle. Doucement d'abord et puis les mots se bousculent, ils ne tiennent plus en place, ils n'en peuvent plus d'être à l'intérieur. Je ne dis pas tout. Parce qu'il y a des choses qu'on garde à l'intérieur. Je passe de l'eau sur mon visage et je déteste ce petit garçon dans le miroir. C'est trop compliqué au fond. Tout ça, c'est trop. Je ne reste pas longtemps sous la douche. Ca va mieux. Je sens bon et j'enfile un tee-shirt trop grand et je me glisse sous la couette, contre le vide qu’elle a laissé. Le petit garçon qui a mal, mal, mal est partie avec le mascara sur mes joues. Je l'ai pleurée jusqu'à mes lèvres, il est dans un mouchoir, sur un oreiller, dans l'eau de la douche. Il est partout mais il est hors de moi.
Alors je respire.
Tellement de mots les uns après les autres. Tellement de choses à dire, à raconter, à vivre, à aimer. Une seconde tout va bien et la suivante, j'ai une boule dans la gorge et des larmes plein les yeux. J'ai changé. Tout à changé. J'ai construit un mur. J'essai de me rattraper enfin, après tous ces rêves dans lesquels j'ai coursé ma propre ombre à travers des pièces vides, tous ces tours en rond.
Un bracelet qui porte bonheur envoyé. Une lettre, deux lettres. Des heures au bout du fil. Et des sms qu'on ne compte plus. Je tombe de ma chaise. Les vaches ne prennent pas le métro elles regardent passer le train. Je l'emmènerai dans une loge un jour. Promis. J'entends son sourire et elle entend sans doute le mien. Je perds toujours à Harry Potter. Les formules magiques pour s'envoler, ça n'existe pas. Elle aussi peut être. Mais j'ai pris l'habitude de l'entendre. L'habitude de parler sans voir passer le temps, de tout et de rien. On ne finit pas nos phrases, on passe du coq à l'âne, des chiques à la couleur d'une robe, des souvenirs à nos …….. Elle sera professeur de chinois ou elle travaillera dans la publicité, la mode. Ce sera ça ou rien, j’en suis sûre. J'aurais pu lui dire que je voulais écrire un livre et capturer le temps. Mais je l'ai gardé pour moi. J'aurais pu lui expliquer que j'aurai un appartement. Un escalier en fer et un mur de craie, des livres dans tous les coins, des photos partout, des draps avec des fleurs et une baignoire avec du savon rose sur le rebord. Des costumes et des chaussures qui font clac clac, de la musique qui tourne en boucle, des messages sur un répondeur et une place pour ELLE à l'intérieur. Oui, tout ça. Je veux du bonheur partout. Et me dire que la vie est belle à pleurer. Je ne veux pas m'endormir seul dans un grand lit, je veux des voyages et une maison loin de la ville avec les odeurs de mon enfance que j’ai pour la moitié déjà oublié tant nôtre monde se meurt. Monter au grenier, ouvrir les boites, faire un chocolat et s'endormir dans des draps qui ont encore la marque du pli. Des draps tellement blancs qu'ils font penser à la neige.
Jamais froid aux yeux, toujours froid au cœur.
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info info pour les fan tjr
Kurt Cobain : ses goûts musicaux
Petit, Cobain a d'abord été attiré par les beatles et souvent il mimait Jhon Lennon devant ses parents. Plus tard ado Kurt fut attirer par le hard rock ("News of the world" de queen puis sur aerosmith avec "rocks" et enfin sur AC/DC avec "black in black"). Guidé par le grand frère, Kurt se mit ensuite au hardcore il se sera toujours rappelé du concert d'Henry Rollins auquel il avait assister. Il aura aussi vénérer des choses qui ne sont pas toujours très audibles comme Scrath Acid .
PS: si quelqu'un trouve des lunettes du genre de celles qu'il porte, qu'il me fasse signe...
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Je reconnu ce titre c'est un ver de chanson connu de Hendrix, Cocaine si mes souvenir son fort. Fur-Breeze my little on do never tush it!!!!!!